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Naissance | |
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Décès |
(à 31 ans) 16e arrondissement de Paris |
Nationalité | |
Activité | |
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Maître | |
Mouvements | |
Père |
John Robert Peel (d) |
Fratrie | |
Archives conservées par |
Musée des beaux-arts du Canada Bibliothèque et archives (d) |
Après le bain, The Little Shepherdess |
Paul Peel, né le à London et mort le à Paris, est un peintre académique canadien. Il est l'un des premiers artistes canadiens à bénéficier d'une reconnaissance internationale de son vivant[1].
Il reçoit de son père John Robert Peel (1830-1904), professeur de dessin et marbrier, sa première formation artistique. Il étudie ensuite avec William Lees Judson à la Pennsylvania Academy of Fine Arts sous la direction de Thomas Eakins. Plus tard, il s'installe à Paris où il est l'élève de Jean-Léon Gérôme à l'École des beaux-arts de Paris et de Jean-Joseph Benjamin-Constant, Henri Doucet et Jules Lefebvre à l'Académie Julian. Il séjourne au printemps et à l’été de 1881 à Pont-Aven[2].
Peel a beaucoup voyagé au Canada et en Europe, exposant en tant que membre de la Ontario Society of Artists et de l'Académie royale des arts du Canada. Il a aussi exposé à des salons internationaux comme le Salon de la Société des artistes français à Paris[3], où il remporte une médaille de bronze en 1890 pour sa peinture Après le bain[réf. nécessaire].
Il est connu pour ses nus sentimentaux et ses images d'enfants, parmi lesquels des portraits de son fils Robert André et de sa fille Émilie Margueritte. Il est l'un des premiers peintres canadiens à aborder le nu[4]. Suivant l'exemple de Gérôme, il élaborait certains de ses tableaux à partir de photographies soigneusement composées. Ses dernières œuvres sont plus lumineuses et manifestent l'influence de l'impressionnisme[5].
À la suite d'une infection pulmonaire, il meurt dans son sommeil à l'âge de 31 ans.