Dans le monde d'aujourd'hui, Philippe Struxiano est un sujet d'une grande importance et qui intéresse un grand nombre de personnes. Depuis son émergence, Philippe Struxiano a capté l'attention de millions d'individus à travers le monde, générant des débats, des discussions et des controverses dans divers domaines. Son impact s’est fait sentir, entre autres, dans la société, la politique, l’économie, la science et la culture. Alors que Philippe Struxiano continue d’évoluer et de gagner en pertinence sur la scène mondiale, il est essentiel d’analyser et de comprendre pleinement son influence et ses implications sur divers aspects de la vie quotidienne. Dans cet article, nous explorerons en détail les différentes dimensions de Philippe Struxiano et son rôle dans la société actuelle.
Nom complet | Philippe Struxiano en 1920 |
---|---|
Naissance |
Toulouse (France) |
Décès |
(65 ans) Toulouse (France) |
Taille | 1,68 m |
Surnom | Struc, L'Intraitable |
Poste (XV) | Demi de mêlée |
Période | Équipe | M (Pts)a |
---|---|---|
? - 1922 1922 - ? |
Stade toulousain Avignon RC |
? (?) ? (?) |
Période | Équipe | M (Pts)b |
---|---|---|
1913-1920 | ![]() |
7 (6) |
Période | Équipe | |
---|---|---|
1922 - ? | Avignon RC |
a Compétitions nationales et continentales officielles uniquement.
b Matchs officiels uniquement.
Dernière mise à jour le 23-06-2019.
Philippe Struxiano (dit Struc, ou L'Intraitable), né le à Toulouse et mort le également dans la Ville rose, est un joueur de rugby à XV évoluant au poste de demi de mêlée.
Initialement footballeur (il prit part en tant que demi-centre à un match international entre la sélection du Sud et la sélection du Nord de l'Espagne)[1], le stratège buteur aux passes redoutables du Stade toulousain — qui possédait une passe sèche de 20 mètres — fut champion de France à neuf années d'intervalles, signe d'un caractère bien trempé[réf. nécessaire], et membre de la fameuse équipe invaincue en championnat de 1912, dite de la Vierge Rouge. Il se définissait lui-même comme le chien de garde du troupeau des avants : "donnez-moi huit bourriques, et nous serons champions de France !". Sans la Première Guerre mondiale, nul doute que son palmarès eût été plus étoffé encore[réf. nécessaire]. Après Toulouse, il finit sa carrière comme entraîneur-joueur à l'Avignon Rugby Club.
Il fut le président de la Commission Technique du Stade dans les années 1940.
Un stade du quartier de Lespinet à Toulouse porte toujours son nom.