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Philippe de Cahors | ||||||||
Biographie | ||||||||
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Naissance | Chaourse | |||||||
Décès | ||||||||
Évêque de l'Église catholique | ||||||||
Ordination épiscopale | ||||||||
Dernier titre ou fonction | Évêque d’Évreux | |||||||
Évêque d’Évreux | ||||||||
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Autres fonctions | ||||||||
Fonction laïque | ||||||||
Chancelier de France | ||||||||
(en) Notice sur www.catholic-hierarchy.org | ||||||||
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Philippe de Cahors, également appelé Philippe de Chaourse, mort en 1281, est évêque d'Évreux à la fin du XIIIe siècle.
Fils de Benoît Jean et de Pétronille, il naît à Chaourse[1]. Clerc du roi de France, il est trésorier de Saint-Frambaud de Senlis. Il est chancelier de France (1262-1270)[2].
Élu évêque d'Évreux en février 1270, il est désigné exécuteur testamentaire du roi qui part en croisade[2], avec Eudes Rigaud, archevêque de Rouen et Étienne Tempier, évêque de Paris[1].
Il acquiert en 1273 de Robert de Courtenay, évêque d'Orléans et seigneur de Nonancourt, le fief d'Illiers, qui appartiendra aux évêques d'Évreux jusqu'à la Révolution[1]. Il offre un vitrail à la cathédrale d'Évreux. Il contribue à l'installation des Dominicains dans son diocèse et à la construction de leur couvent[3] en 1277, suivant l'ordre de Philippe le Hardi. Il siège la même année au parlement de Paris[1].
Il meurt le et est inhumé dans le chœur du couvent dominicain Saint-Louis d'Évreux[1]. Son tombeau, gisant de cuivre jaune, était l'œuvre du maître bronzier Guillaume de Plailly[3].
Il portait pour armes : « d'argent à cinq burettes de gueules »[1].