Dans le monde d'aujourd'hui, Pierre Barbet (médecin) est un sujet qui est devenu de plus en plus pertinent et a retenu l'attention d'un large éventail de publics. Depuis son émergence, Pierre Barbet (médecin) a généré d'innombrables débats, recherches et réflexions dans différents domaines. Son impact influence désormais la vie quotidienne des gens, ainsi que le développement de diverses industries et secteurs. Dans cet article, nous explorerons les nombreuses facettes de Pierre Barbet (médecin), de ses origines à ses implications actuelles, dans le but de mieux comprendre sa signification et son importance dans la société contemporaine.
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Nom de naissance |
Firmin Pierre Barbet |
Nationalité | |
Activité |
Pierre Barbet (1883–1961) est un médecin français, élève du Dr Paul Michaux, chirurgien en chef à l'hôpital Saint-Joseph de Paris.
Ce médecin catholique a consacré une grande partie de sa carrière à tenter d'expliquer les causes du décès par crucifiement et de démontrer l'authenticité du suaire de Turin. En 1931, il commence une longue série de tests sur des cadavres et des bras amputés pour comprendre comment est mort l'homme du linceul de Turin. Il effectue également des recherches à partir de la publication du sindonologue Antoine Legrand[2]. Celui-ci avait recueilli le témoignage de deux rescapés du camp de Dachau, qui relataient les expériences de crucifiement infligées par des médecins nazis à des prisonniers juifs vivants[3].
Il explique notamment dans La passion de N.-S. Jésus-Christ selon le chirurgien que le cloutage des mains du crucifié se faisait dans le poignet dans l'espace de Destot et pour les pieds dans l'espace de Mérat (entre le 3e cunéiforme, le 2e cunéiforme et l'os naviculaire.Dans le poignet le clou ne créait aucun dégât osseux ou vasculaire mais lésait le nerf médian, lésion qui entraîne une adduction du pouce qui vient se mettre dans la paume de la main, ce qui explique leur disparition sur le linceul de Turin[4]. Cette hypothèse est admise par tous les anatomistes même si elle a pu être réfutée par le médecin légiste Frederick Zugibe[5].