Aujourd'hui, nous plongeons dans le monde passionnant de Pierre Théberge, en explorant tous les aspects fascinants qui l'entourent. De son origine à son impact sur la société actuelle, nous nous plongerons dans un voyage de découverte et de connaissance, en analysant chaque détail et en perçant les mystères qui l'entourent. Pierre Théberge a fait l'objet d'intérêt et de débats tout au long de l'histoire, et à travers cet article, nous souhaitons mettre en lumière toutes les facettes qui la rendent si intrigante. Préparez-vous à une exploration approfondie qui vous laissera avec une vision renouvelée et enrichissante de Pierre Théberge.
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Pierre Théberge est un historien de l'art et administrateur public canadien, né le à Saint-Éleuthère au Québec (comté de Kamouraska[1], Témiscouata) et mort le [2].
Pierre Théberge a été conservateur (1977-1978), conservateur en chef (1979-1985) puis directeur du Musée des beaux-arts de Montréal (1986-1997) et enfin, jusqu'en 2008[3], directeur du Musée des beaux-arts du Canada.
Pierre Théberge est à l'origine d'origine d'expositions audacieuses dans le contexte muséal de l'époque à son arrivée au Musée des beaux-arts de Montréal qui connaissait alors des difficultés financières et d'achalandage. Avec Le musée imaginaire de Tintin (1980), le cinéma d'animation (1982), Léonard de Vinci (1987), Snoopy (1992) et Beauté mobile: un siècle de chefs-d’œuvre automobiles (1995), il réussit à fournir un élan populaire au musée. Ces succès permettent d'envisager l'agrandissement du musée qui intervient avec le pavillon Jean-Noël Desmarais en 1991.
Par ailleurs, Pierre Théberge développe la collection d'art contemporain du musée, y allant lui-même de dons de plus de quarante œuvres. Son intérêt pour l'art contemporain se poursuit au Musée des beaux-arts du Canada où il a organisé des expositions sur Guido Molinari, Greg Curnoe, N.E. Thing Co., Michael Snow et Joyce Wieland.