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Le Clavier bien tempéré II
Prélude et fugue n°4 BWV 873 Le Clavier bien tempéré, livre II (d) | |||||||||
![]() Prélude en ut-dièse mineur. Manuscrit de Johann Christoph Altnikol (Bibliothèque d'État de Berlin, manuscrit P 430). | |||||||||
Prélude | |||||||||
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Fugue | |||||||||
Voix | 3 | ||||||||
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Liens externes | |||||||||
(en) Partitions et informations sur IMSLP | |||||||||
(en) La fugue jouée et animée (bach.nau.edu) | |||||||||
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Le prélude et fugue en ut-dièse mineur, BWV 873 est le quatrième prélude et fugue du second livre du Clavier bien tempéré de Jean-Sébastien Bach, compilé de 1739 à 1744.
Le prélude à l'écriture complexe et audacieuse, est noble et pathétique. Il est suivi d'une double-fugue, la première du recueil, brillante et redoutable par son mouvement perpétuel à l'intense agitation.
Le prélude, noté , totalise 62 mesures.
Développé sur trois pages parfaitement structurées, c'est un prélude de longueur exceptionnelle[1], « noble et pathétique, d'écriture complexe et audacieuse »[2]. Ses trois voix sont si mêlées qu'on ne distingue plus qu'une seule mélodie continue. C'est l'occasion pour le musicien d'exprimer des sentiments passionnés, « d'une intensité inégalable » et parmi les plus profondes exprimées par Bach[3]. Le dessin mélodique initial subit toute sorte de métamorphoses, alors que d'autres se fondent sur les premières notes de la basse (mesure 27)[4].
La fugue à trois voix, est notée et totalise 71 mesures.
C'est une double-fugue, la première du cahier, portée par une gigue italienne[1] au mouvement perpétuel[3].
Le sujet est continu, comme dans certaines toccatas et deux fugues en la mineur (BWV 894 — également à et BWV 944). Au sein du Clavier, il n'y a que celles en mi mineur (volume I) et sol majeur (volume II)[5]. La contrepartie de ses sujets étant la monotonie, et cette fugue peut « encourir un tel reproche »[6].
Le second sujet (ou second contre-sujet tellement il est uni au sujet principal) est assez lisse. Il apparaît à la mesure 35, mais il avait été énoncé transformé en diminutions dès la mesure 27, et déjà présent à l'état d'ébauche à la basse (mesure 17) et au soprano (mesure 20)[6],[7].
Le sujet se trouve renversé à la mesure 24. Le second sujet présenté mesure 35 est combiné au premier mesure 48.
L'exposition de la fugue :
Selon la copie de Kellner, la fugue était antérieurement en ut mineur, et seulement transposée sans changement pour figurer au sein du Clavier[5].
Parmi les sources[8], en l’absence de celle de la main de Bach lui-même, les manuscrits considérés comme les plus importants sont :
Théodore Dubois en a réalisé une version pour piano à quatre mains[11], publiée en 1914.
Sergueï Taneïev rend hommage à cette fugue en ut-dièse mineur, en reprenant la même mesure dans la fugue de son prélude et fugue opus 29 (1910)[12], dont le sujet est aussi ondoyant que celui de Bach.