Cet article abordera le sujet de Prasiola, qui a suscité un grand intérêt et un grand débat dans divers domaines. Prasiola est un sujet pertinent qui a retenu l'attention des spécialistes, des universitaires, des professionnels et du grand public, en raison de son importance et de sa pertinence aujourd'hui. Tout au long de cet article, différents aspects de Prasiola seront analysés, tels que ses origines, son impact, ses implications et ses éventuels développements futurs. De même, les avis d'experts dans le domaine seront discutés, ainsi que des expériences et des cas pertinents liés à Prasiola. Enfin, des réflexions et des conclusions seront proposées qui invitent à la réflexion et au débat sur ce sujet important.
Empire | Eukaryota |
---|---|
Règne | Plantae |
Embranchement | Chlorophyta |
Classe | Trebouxiophyceae |
Ordre | Prasiolales |
Famille | Prasiolaceae |
Prasiola est un genre d'algues vertes de la famille des Prasiolaceae (en).
Le nom vient du grec πρασινοσ / prasinos, « d'un vert tendre comme le poireau » qui a donné le latin prasinatus, « habillé de vert », en référence à la couleur de l'algue.
Ce sont des algues en forme de petites lames qui peuvent en groupe tapisser le substrat où elles sont accrochées. La lame est attachée au substrat par un petit stipe à plusieurs rangées de cellules. La lame est généralement à une seule épaisseur de cellules.
Les algues du genre Prasiola peuvent se reproduire par reproduction (gamètes) ou se multiplier par multiplication asexuée (spores ou fragmentation du thalle). Certaines espèces se multiplient exclusivement par voie asexuée, telles que Prasiola furfuracea (en) ou Prasiola calophylla (en)[1].
Ces algues d'eau douce, terrestres ou marines sont cosmopolites ; on peut les trouver sous des climats tempérés ou arctiques. Les espèces marines vivent dans la partie battue par les vagues de la zone de balancement des marées. Les espèces d'eau douce poussent dans les cours d’eau à courant assez rapide ; les espèces terrestres poussent sur sol ou rochers humides.
Elles constituent la partie algale des mycophycobioses du genre Turgidosculum (anciennement Mastodia). Alors que les lichens sont constitués d'une lame de mycélium hébergeant des algues unicellulaires, les mycophycobioses sont constituées d'une algue pluricellulaire hébergeant un ascomycète.
Selon AlgaeBase (17 juin 2013)[3] :
Selon ITIS (17 juin 2013)[4] :
Selon World Register of Marine Species (17 juin 2013)[5] :