Dans l'article suivant, nous analyserons en profondeur Pression partielle, un sujet qui a suscité un grand intérêt et un grand débat ces dernières années. Depuis son émergence, Pression partielle a attiré l'attention des experts et des fans, générant un large éventail d'opinions et de théories. Tout au long de cet article, nous explorerons les différentes facettes de Pression partielle, de son impact sur la société actuelle à sa pertinence dans le contexte historique. De plus, nous examinerons les implications futures de Pression partielle et le rôle qu'il pourrait jouer dans notre vie quotidienne. Cette analyse vise à offrir une perspective globale sur Pression partielle, dans le but d'enrichir les connaissances et la compréhension de ce sujet très pertinent.
La pression partielle d'un composant dans un mélange de gaz parfaits est définie comme la pression qui serait exercée par les molécules de ce composant s'il occupait seul tout le volume offert au mélange, à la température de celui-ci.
Elle correspond donc à la contribution de ce composant à la pression totale du mélange. La pression partielle d'un composant est une mesure de l'activité thermodynamique des molécules de ce gaz.
Les gaz se dissolvent, diffusent et réagissent selon leur pression partielle, donc ni selon la pression totale, ni selon leur concentration dans le mélange de gaz ou dans le liquide où ils sont dissouts. Ainsi, par exemple, la dissolution du gaz dans un liquide dépendra, non de la pression totale, mais de la pression partielle ; de même la condensation d'un gaz dépendra de sa pression partielle, et non de la pression totale (cependant que l'évaporation sera, elle, sensible à la pression totale, mais seulement en ce qui concerne son mode : évaporation ou ébullition). Ce point est développé à l'article Pression de vapeur saturante.
La loi de Dalton, valable rigoureusement pour un mélange idéal de gaz parfaits, relie la pression partielle et la pression totale par l'intermédiaire de la fraction molaire du constituant considéré dans le mélange :
où est le nombre de moles d'un constituant quelconque repéré par l'indice dans le mélange et le nombre total de moles dans le mélange.
La pression partielle du constituant est égale au produit de sa fraction molaire par la pression totale :
La pression d'un mélange idéal de gaz parfaits est la somme des pressions partielles de chacun de ses constituants :
car .
La fraction molaire du constituant dans un mélange est égale à la fraction volumique du constituant dans le mélange.
On a donc la relation isotherme suivante :
avec :