Preuve directe est un sujet qui a suscité un grand intérêt et un grand débat ces derniers temps. Sous de multiples aspects, cette question a retenu l’attention de divers secteurs de la société, depuis les experts du domaine jusqu’aux citoyens ordinaires intéressés à comprendre son impact. Au fil du temps, Preuve directe se positionne comme un point central des conversations actuelles, provoquant des réflexions et des analyses sous différents angles. Cet article cherchera à approfondir les différentes facettes de Preuve directe, en explorant ses implications et en offrant un aperçu complet de ce sujet.
En mathématiques et plus précisément logique, une preuve directe est un moyen d'affirmer ou d'infirmer une proposition, par une combinaison directe de faits établis, comme des axiomes, des lemmes et des théorèmes déjà démontrés. Afin de prouver directement une assertion logique conditionnelle de la forme "Si , alors " où et sont des propositions logiques, il suffit de se restreindre aux situations où est vraie, et de déduire logiquement la conclusion, à partir de cette hypothèse et des faits établis. Par exemple, les disjonctions de cas ou les preuves par induction sont des preuves directes.
À l'inverse, une preuve indirecte est une preuve où l'on ne montre pas simplement l'implication , mais obtenir un résultat équivalent par un autre raisonnement. Un exemple est la preuve par contraposition : au lieu de montrer , on montre , qui se trouve être équivalent à l'implication que l'on cherche. D'autres exemples sont la preuve par l'absurde ou la méthode de descente infinie.
Soit deux entiers pairs. On peut poser
Ainsi, on a
On a que cette somme possède un facteur 2, ainsi, par définition d'un nombre pair, exhibe cette propriété.
Soit un entier impair. On peut poser
+ 1
Ainsi, on a
On a que est de la forme avec entier, donc par définition d'un nombre impair, est impair.