Dans cet article, nous explorerons l'impact de Prix du Quai des Orfèvres sur la société moderne. Depuis son émergence, Prix du Quai des Orfèvres a capté l'attention et l'intérêt de nombreuses personnes à travers le monde, suscitant débats et réflexions sur son influence dans différents domaines de la vie quotidienne. À travers cette analyse, nous examinerons ses répercussions sur la culture, l’économie, la politique et la technologie, afin de mieux comprendre son importance et sa pertinence aujourd’hui. De même, nous analyserons comment Prix du Quai des Orfèvres a évolué au fil du temps, s'adaptant aux transformations sociales et contribuant au changement et à l'innovation dans différentes sphères de la société.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Le jury, composé de 22 membres — policiers, magistrats, avocats et journalistes — est présidé par le directeur de la police judiciaire (PJ) de la préfecture de police de Paris[1], depuis 2015 Christian Sainte[2], anciennement sise au célèbre 36, quai des Orfèvres à Paris. Les quelque 80 manuscrits reçus en moyenne chaque année par le secrétariat général du Prix du Quai des Orfèvres font l'objet d'une sélection par le secrétariat du Prix (36, rue du Bastion, 75017 Paris).
Les manuscrits restant dans la sélection finale sont alors soumis anonymement aux jurés qui votent à bulletin secret courant septembre. Pour désigner le lauréat, le jury se détermine d'une part sur l'intérêt littéraire du texte, d'autre part sur le réalisme et la crédibilité de l'histoire en matière de fonctionnement de la police et de la justice françaises[3].
Le roman primé est ensuite publié par une grande maison d'édition (SEPE de 1946 à 1949, Hachette de 1951 à 1965, puis Fayard depuis 1966) avec un tirage minimal de 50 000 exemplaires[4]. La proclamation du Prix du Quai des Orfèvres par le préfet de police a lieu généralement en même temps que la sortie du livre en librairie, vers la mi-novembre dans les locaux de la direction régionale de la police judiciaire. En outre, le montant du prix est de 777 euros[3] remis à l'auteur le jour de la proclamation du prix[5].
Lauréats du prix du Quai des Orfèvres
1946 : Jacques Levert (pseudonyme de Jacques Mortier), pour Le Singe rouge ;