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Le proles désignait dans le domaine de la taxinomie[1], de la botanique, ou pour les ampélographes, un rang taxinomique synonyme de celui de race (dénomination plus récente).
Au XIXe siècle, Georges Rouy, ancien Vice-Président de la Société botanique de France, et Julien Foucaud, chef du jardin Botanique de la Marine à Rochefort (Charente-Maritime), classaient les espèces au moyen de quatre catégories infraspécifiques :
Le mot forme fut plus tard remplacé par celui de race (ou "proles" en latin).[réf. nécessaire]
Le proles était donc un rang taxinomique infraspécifique (en dessous du niveau de l'espèce, situé entre la variété (var.) et la sous-espèce (subsp.) [2].
Des confusions existaient car pour Rouy et Foucaud le mot forme était « synonyme de celui de race en horticulture » [1] et décrivait un niveau de classification supérieur à celui de la variété car « plus stable et se reproduisant généralement telle quelle »[1].
Ce mot peut être associé au nom de genre et d'espèces décrivant un taxon.
Dans le domaine de la vigne, l'ampélographe russe A. M. Negrul a déterminé trois grands groupes écolo-géographiques de cépages qu'il considère chacun comme un proles.