Aujourd’hui, Province ecclésiastique de Rennes est un sujet qui a retenu l’attention d’un public diversifié et en constante expansion. Depuis son émergence, elle a suscité des débats, des discussions et des réflexions dans différents domaines, tels que la politique, la science, la technologie, la culture et la société en général. Au fil du temps, Province ecclésiastique de Rennes est devenu un sujet d'une grande importance et intérêt pour différentes générations, car il a réussi à transcender les barrières et les frontières, devenant un élément fondamental de la vie quotidienne de nombreuses personnes. Dans cet article, nous explorerons plus en détail l'impact de Province ecclésiastique de Rennes et analyserons son influence sur divers aspects de la vie contemporaine.
La province ecclésiastique de Rennes (en latin : Provincia Rhedonensis) est une des quinze provinces ecclésiastiques de l'Église catholique en France. Elle est l'héritière de la province ecclésiastique de Bretagne, dont les évêques de Dol tiraient leur titre de primat de Bretagne[1]. Elle est, depuis , dirigée par Pierre d'Ornellas.
La province ecclésiastique regroupe depuis les neuf diocèses suivants couvrant l'ensemble des régions administratives Bretagne et Pays de la Loire[2] :
La province ecclésiastique de Rennes a été créée en , quand le diocèse de Rennes fut élevé au rang de métropole. Elle comprenait alors les diocèses de Quimper, Rennes, Vannes et Saint-Brieuc, qui relevaient auparavant de la province de Tours.
Une province ecclésiastique indépendante avait pourtant été constituée en Bretagne au IXe siècle, sous le règne du roi Salomon de Bretagne, avec Dol comme métropole[3], Rennes et Nantes restant cependant rattachés à Tours qui avait été dans l'Antiquité la capitale de la lyonnaise III. En ,Nominoë, pour assurer son indépendance vis-à-vis de la province ecclésiastique de Tours, confère au diocèse de Dol la primatie sur la province ecclésiastique et à son évêque le rang de primat de Bretagne[1].
Mais la reconnaissance de Dol comme métropole ecclésiastique de la Bretagne fut toujours contestée par les archevêques de Tours. Rome avait clarifié officiellement la situation en , en accordant le pallium à l'archevêque Éven, mais un siècle plus tard, en , le pape Innocent III trancha finalement en faveur de Tours, en affirmant l'autorité de son archevêque sur les évêques bretons de Dol, Léon, Nantes, Quimper, Rennes, Saint-Brieuc, Saint-Malo, Tréguier et Vannes.