Aujourd'hui, Quai d'Orsay (film) est un sujet qui est sur toutes les lèvres, que ce soit en raison de son importance dans la société actuelle, de sa pertinence historique ou de son impact sur la vie quotidienne des gens. Depuis longtemps, Quai d'Orsay (film) fait l'objet d'études, de débats et d'intérêt, et son influence peut être perçue dans différents aspects de la vie quotidienne. Dans cet article, nous explorerons en profondeur l'importance de Quai d'Orsay (film), en analysant ses implications dans différents contextes et son rôle dans la société contemporaine. De plus, nous approfondirons son histoire, son évolution dans le temps et sa pertinence aujourd'hui, dans le but d'offrir une vision complète et détaillée de ce sujet vaste et diversifié.
Réalisation | Bertrand Tavernier |
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Scénario |
Bertrand Tavernier Christophe Blain Antonin Baudry |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production | Little BearPathéFrance 2 CinémaCN2 ProductionsAlvy Développement |
Pays de production |
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Genre | Comédie |
Durée | 114 minutes |
Sortie | 2013 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Quai d'Orsay est un film français sorti en 2013, réalisé par Bertrand Tavernier, scénarisé par Bertrand Tavernier, Christophe Blain et Antonin Baudry et adapté de Quai d'Orsay, la bande dessinée du même nom de Christophe Blain et Abel Lanzac (pseudonyme d'Antonin Baudry).
Le film est présenté en compétition pour la Coquille d'or lors du Festival international du film de Saint-Sébastien 2013. Il est nommé aux Césars 2014 et Niels Arestrup est récompensé par le prix du meilleur acteur dans un second rôle pour son interprétation de Claude Maupas, le directeur de cabinet.
Fraîchement diplômé, Arthur Vlaminck est appelé à travailler au service du ministre des Affaires étrangères de droite, Alexandre Taillard de Worms.
Mais entre le flegme du directeur de cabinet, Claude Maupas, les coups bas des autres conseillers dévorés d'ambition et les feuilles qui volent au passage du ministre Taillard de Worms — le tout dans un contexte difficile pour la diplomatie mondiale préoccupée par un conflit —, le jeune Vlaminck se rendra rapidement compte qu'être le « chargé de langage » du chef de la diplomatie n'est pas de tout repos.
Rédiger le discours d'un ministre n'est guère chose aisée : le directeur de cabinet l'approuve, les autres conseillers le dénigrent ; occuper un coin de bureau pour écrire les moutures sans être dérangé par les fréquentes allées et venues du ministre demande bien de la patience ; approcher le chef de la diplomatie pour lui communiquer quelque information semble être impossible… Ainsi se résument les journées d'Arthur Vlaminck, qu'il conte le soir venu à sa compagne, une institutrice engagée à gauche comme lui-même.
Le discours prononcé à la fin du film par le ministre des Affaires étrangères reprend les mots d'un discours réellement prononcé par Dominique de Villepin, le , à l'ONU, contre une intervention militaire en Irak, pays accusé faussement de détenir des armes de destruction massive.
Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section proviennent du générique de fin de l'œuvre audiovisuelle présentée ici.
Par Philippe Sarde :
Site | Note |
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Metacritic | 65/100[6] |
Rotten Tomatoes | 62 %[7] |
Allociné | ![]() |
Périodique | Note |
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Sur l'agrégateur américain Rotten Tomatoes, le film récolte 62 % d'opinions favorables pour 21 critiques[7]. Sur Metacritic, il obtient une note moyenne de 65⁄100 pour 11 critiques[6].
En France, le site Allociné propose une note moyenne de 3,4⁄5 à partir de l'interprétation de critiques provenant de 24 titres de presse[8].
Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section proviennent du générique de fin de l'œuvre audiovisuelle présentée ici.