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Petit Champlain | ||
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Administration | ||
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Pays | ![]() |
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Province | ![]() |
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Municipalité | Québec | |
Quartiers | Vieux-Québec—Cap-Blanc—colline Parlementaire | |
Arrondissement | La Cité–Limoilou | |
Démographie | ||
Langue(s) parlée(s) | Français | |
Géographie | ||
Coordonnées | 46° 48′ 47″ nord, 71° 12′ 09″ ouest | |
Divers | ||
Site(s) touristique(s) | Rue du Petit-Champlain, Théâtre Petit Champlain | |
Localisation | ||
Géolocalisation sur la carte : Québec
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Liens | ||
Site web | Site officiel | |
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Le Quartier Petit Champlain est un secteur commercial du quartier Vieux-Québec—Cap-Blanc—colline Parlementaire, qui est situé en basse-ville de Québec près de place Royale.
Souvent désignée « quartier Petit Champlain » même si elle n'est pas en soi un quartier officiel de la Ville, cette petite zone touristique n'est composée que d'une centaine de mètres de rues piétonnières, principalement Cul-de-Sac et Sous-le-Fort mais surtout la rue du Petit-Champlain[1].
Au début des années 1700, cette dernière est nommée rue des Meulles, en l'honneur de l'intendant Jacques de Meulles, mais à partir du XIXe siècle les résidents anglophones du secteur la surnomment « Little Champlain Street », pour la différencier de la vraie (et nouvelle) rue Champlain (actuel boulevard Champlain) qui passait tout proche, d'où l'appellation Petit Champlain[2].
Dès le milieu du XIXe siècle, le secteur est délabré voire insalubre, en plus d'être exposé au risque d'éboulis du promontoire de Québec. Ce n'est que dans les années 1970 et 1980, qu'un projet de revitalisation voit le jour, initié par l'entrepreneur Gérard Paris et l'architecte Jacques de Blois. Afin d'y faire revivre la tradition artisanale et commerciale, ils achètent en 1977 huit édifices en vue de les rénover, puis neuf autres en partenariat avec la SODEC en 1982. À ce moment, la zone compte une trentaine de logements, une cinquantaine de boutiques et ateliers, six cafés-restaurants, un théâtre et un parc[2], ce qui est similaire à ce qu'on retrouve de nos jours. Les artisans et commerçants se regroupent en coopérative en 1985 et rachètent les immeubles revitalisés dans le cadre du projet. Le mandat de la Coopérative de solidarité du Quartier Petit Champlain est ainsi d'assurer la valorisation culturelle, commerciale et touristique du « quartier », en supervisant par exemple la nature des activités et produits offerts[3],[2].
La rue du Petit-Champlain, située en contrebas de la falaise du cap Diamant, est aujourd'hui composée de dizaines de boutiques et de restaurants dans un cadre architectural typique du Vieux-Québec[4]. Ce secteur, l'un des plus vieux de la ville, est complété par les rues Sous-le-Fort, du Cul-de-Sac, du Marché-Champlain et une partie de la rue Notre-Dame et du boulevard Champlain.
Cette rue piétonne, l'une des plus touristiques de la ville, est longue d'environ 275 mètres.
En 1660, le célèbre « Escalier casse-cou (en) » qui mène à la côte de la Montagne existait déjà. On le désignait alors « escalier Champlain » ou « escalier du Quêteux » ou encore « escalier de la basse-ville ». C'est au milieu du XIXe siècle que les anglophones le baptisèrent « Break Neck Steps » (littéralement « marches brise-cou »)[5],[6].
On y retrouve un parc :