Dans cet article, nous allons approfondir le sujet de Quenching, un aspect qui a acquis une grande importance ces derniers temps. Quenching a fait l'objet de débats et d'études dans divers domaines, de la psychologie à la politique, en passant par la sociologie et l'économie. Son impact sur la société et la vie quotidienne est indéniable, et c’est pourquoi il est primordial de bien comprendre ses implications et ses conséquences possibles. Tout au long de cet article, nous explorerons différentes perspectives sur Quenching, analyserons son évolution au fil du temps et réfléchirons au rôle qu'il joue aujourd'hui. Sans aucun doute, Quenching est un sujet qui suscite l’intérêt de nombreuses personnes, et nous sommes sûrs que cette lecture sera très utile à ceux qui souhaitent approfondir leur compréhension.
En photochimie, le quenching (du terme anglais pour "extinction") regroupe l'ensemble des phénomènes qui contribuent à diminuer l'intensité de la fluorescence d'une substance donnée. De nombreux processus peuvent entrer en jeu, notamment des réactions de l'état excité, des transferts d'énergie, la formation de complexes, ou les collisions entre espèces. Par conséquent, le quenching est souvent très dépendant des conditions de température et de pression. Le dioxygène, les ions iodure ou l'acrylamide sont des agents de quenching (ou désactivateurs) courants[1]. L'ion chlorure est un désactivateur connu de la fluorescence de la quinine[2],[3],[4].
Le quenching pose un problème dans les méthodes d'analyse spectroscopiques non-instantanée, comme la fluorescence induite par laser. En revanche, il est exploité constructivement dans certains capteurs, par exemple l'effet de quenching de l'oxygène sur certains complexes du ruthénium permet de mesurer la saturation en oxygène d'une solution.