Dans le monde d'aujourd'hui, Réserve de biosphère transfrontière du Mono est un sujet d'une grande pertinence et d'un grand intérêt pour de nombreuses personnes. Que ce soit en raison de son impact sur la société, de son influence sur la culture populaire ou de son importance dans l'histoire, Réserve de biosphère transfrontière du Mono est devenu un point de discussion et de débat dans divers domaines. Dans cet article, nous explorerons différents aspects liés à Réserve de biosphère transfrontière du Mono, de ses origines à sa pertinence aujourd'hui. Nous analyserons son impact dans divers domaines, ainsi que les avis et perspectives d’experts en la matière. De plus, nous réfléchirons au rôle que joue Réserve de biosphère transfrontière du Mono dans la vie quotidienne des gens et à son potentiel pour transformer le monde à l'avenir.
Réserve de biosphère du Mono *
| ||
![]() Transition entre île, mare, lagune, plage et mer à Sodomé (Bénin) | ||
Zone géographique | Afrique ** | |
---|---|---|
Pays | ![]() ![]() |
|
Coordonnées | 6° 27′ 11″ nord, 1° 32′ 40″ est | |
Création | 2017 | |
Superficie | 346 285 hectares | |
Géolocalisation sur la carte : Afrique
| ||
* Descriptif officiel UNESCO ** Classification géographique UNESCO |
||
modifier ![]() |
La réserve de biosphère transfrontière du Mono est située sur l'embouchure du fleuve Mono, à cheval sur la frontière entre le Bénin et le Togo. Sa désignation comme réserve de biosphère par l'UNESCO date de 2017[1].
La réserve s'étend sur 346 285 hectares[1].
La structure porteuse du côté béninois est le Ministère de l’Environnement chargé de la Gestion des Changements climatiques, du Reboisement et de la Protection des ressources naturelles et forestières (MECGCCRPRNF) et le Centre national de gestion des réserves de faune (CENAGREF)[2].
La structure porteuse du côté togolais est le Ministère de l’Environnement et des Ressources forestières (MERF) et la Direction des Ressources forestières (DRF)[2].
Paysages et écosystèmes comprennent principalement des mangroves, de la savane, des lagunes, des plaines inondables, ainsi que des forêts, notamment des forêts sacrées[1].
Près de deux millions de personnes y vivent. Leurs principales activités sont l'agriculture à petite échelle (palmiers à huile et noix de coco), le pâturage, la sylviculture et la pêche[1].