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Rachid M'Barki | |
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Nom de naissance | Rachid M'Barki |
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Naissance | Toulouse |
Nationalité | ![]() ![]() |
Profession | Journaliste |
Spécialité | Actualité judiciaire |
Médias actuels | |
Pays | ![]() |
Média | Atlantic radio |
Historique | |
Télévision | Euronews (1997-2000) Bloomberg TV (2000) BFM TV (2005-2023) RMC Story (2020-2023) Présentateur de Faites entrer l'accusé (2020 - 2023) Kimous Communication |
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Rachid M'Barki, né le à Toulouse (France), est un journaliste et animateur de télévision franco-marocain.
Issu d'une famille d'origine marocaine, Rachid M'Barki est né à Toulouse le [1].
Après avoir obtenu une maîtrise en droit public, il fait un stage à Radio France Toulouse et y découvre le métier de journaliste. En 1997, il est engagé par Euronews et ensuite par Bloomberg TV[2].
Il rejoint à son lancement en 2005 la chaîne d’information en continu BFM TV pour laquelle il présente les émissions d'information nocturnes[3]. En parallèle de sa présence sur BFM TV, Rachid M'Barki est chargé en 2020 de la présentation de Faites entrer l'accusé dont les droits sont rachetés par RMC Story en 2019[4].
En décembre 2023, il rejoint le groupe marocain Éco-Médias et devient animateur sur Atlantic radio[5].
Avec son épouse Bouchra Belmamoun, ils prennent chacun 25 % des parts de la société Public Privé Consulting qui conseille les institutions territoriales marocaines[6].
En mars 2012 sur BFM TV, il relaie l'information d'une de ses sources quant à l'arrestation de Mohammed Merah, qui se révèle par la suite fausse. Malgré le soutien de son directeur de la rédaction, il est écarté du service police-justice avec lequel il a l'habitude de collaborer[7],[8].
Le 11 janvier 2023, il est suspendu de la présentation du journal de la nuit de la chaîne BFM TV à la suite d'une enquête interne pour ingérence étrangère concernant des contenus diffusés par la chaîne dans des circonstances troubles[9],[10], et que révèle l'investigation « Story Killers » du consortium mené par Forbidden Stories[10]. BFM TV licencie son employé le pour faute grave et dépose plainte[11].
Il est mis en examen le 8 décembre 2023 des chefs d’abus de confiance et de corruption privée passive[12]. Début 2024, l'intéressé reconnaît les faits de corruptions[13],[14]. L'Assemblée nationale fait alors un signalement pour « faux témoignage » contre le journaliste ayant nié les faits devant une commission d'enquête[15] en mars 2023.