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Président Académie des inscriptions et belles-lettres | |
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Nom de naissance |
Robert Alain Turcan |
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École normale supérieure (à partir de ) |
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Marie Turcan (d) (de à ) |
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Robert Turcan, né le à Paris et mort le à Craponne[1], est un archéologue et historien français.
Il est spécialiste d'archéologie et de l'Antiquité romaine.
Élève à l'École normale supérieure en 1952, il y réalise des « canulars anti-communistes »[2] et y passe son agrégation de lettres, qu'il obtient en 1955[3], et poursuit ses études à l'École française de Rome, de 1955 à 1957.
Il travaille alors comme assistant de langue et littérature latines à la Faculté des lettres de Lyon (de 1957 à 1963) puis chargé d’enseignement à la Faculté des lettres de Lyon (de 1963 à 1967) - tout en travaillant à sa thèse, qu'il soutient en 1966.
Il fait alors carrière comme maître de conférences à la Faculté des lettres de Lyon (1967 à 1987) puis professeur d’archéologie romaine et gallo-romaine à l'université Paris IV (1987 à 1994).
Il est élu membre de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres en 1990.
Il meurt le [4].
Dans ses travaux, Robert Turcan a mis en exergue l'importance des orientalismes (Cybèle, Dionysos, Mithra, Isis, etc.) dans la vie de Rome[5], notamment via ses ouvrages Mithra et le mithracisme (1993) et Recherches Mithriaques (2016)[6].
En 2017, il publie la thèse Tibère dans laquelle il revisite le parcours du deuxième empereur en lui conférant habileté et prudence[7].
Marié en 1956 à Marie Deléani (1930-2019), il est le père d'Anne-Marie Turcan-Verkerk et d'Isabelle Turcan[8].