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L'ouverture de la rue fut ordonnée par un arrêt du conseil du [1].
Elle est tracée sur la partie du domaine des Templiers comprise entre l'enclos du Temple et le boulevard du Temple aménagé sur l'enceinte de Charles V démantelée quelques années auparavant. Ce territoire était à cette date, un des rares espaces non encore urbanisé à l'intérieur de cette enceinte.
Au no 2 : l'hôtel Fargès, dit aussi de Mascrani, construit entre 1720 et 1727 par Gillet de la Chaussée. Pendant la Révolution française, l'hôtel était le siège de l'Administration des Vivres[3].
Aux nos 3 et 5 : ensemble de deux hôtels construits pour Abraham Peyrenc de Moras (au no 3) et Jean Pujol (au no 5), construits dans un style Régence entre 1720 et 1725 par Gilbert Delaubard[3]. Les deux bâtiments sont devenus l'école primaire Béranger et le collège Pierre-Jean-de-Béranger[4],[5].
Au no 6 : l'hôtel Lacarrière, construit par Rolland[6].
Au no 16 se trouvait jusqu'à la Révolution le couvent des Filles-du-Sauveur fondé en 1701 pour venir en aide aux « mauvaises filles » repenties établi rue du Temple et transféré à cet emplacement en 1704. Les bâtiments du couvent vendus comme bien national dans les années 1790 laissèrent la place aux jardins de la rotonde de Paphos, établissement de loisirs ouvert en 1797 à l'angle de la rue du Temple et du boulevard du Temple puis au passage Vendôme.
Au no 22, il y avait en 1878 un magasin de jouets, dans lequel était entreposé une grande quantité de fulminate de mercure destiné à des pistolets à amorce pour enfants, qui explosa. Le sinistre fit 15 morts et 18 blessés et détruisit deux maisons[10].
↑Félix Lazare et Louis Lazare, Dictionnaire administratif et historique des rues de Paris et de ses monuments (1re éd. 1844) (BNF32357628, lire en ligne), p. 663.