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![]() 16e arrt Rue Mallet-Stevens
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Situation | |||
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Arrondissement | 16e | ||
Quartier | Auteuil | ||
Début | 9, rue du Docteur-Blanche | ||
Fin | Finit en impasse | ||
Morphologie | |||
Longueur | 77 m | ||
Largeur | 7 m | ||
Historique | |||
Création | 1927![]() |
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Géocodification | |||
Ville de Paris | 5891 | ||
DGI | 5964 | ||
Géolocalisation sur la carte : Paris
Géolocalisation sur la carte : 16e arrondissement de Paris
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La rue Mallet-Stevens est une voie publique de Paris inaugurée en et située dans le 16e arrondissement de Paris.
Cette rue, large de 7 mètres et longue de 77, donne uniquement sur la rue du Docteur-Blanche (au no 9) à son début et se termine en impasse. C'est une rue essentiellement résidentielle qui ne comporte aucun commerce.
La rue est desservie au plus proche, dans l'avenue Mozart, par la ligne 9 à la station Ranelagh.
Cette rue porte le nom de l'architecte Robert Mallet-Stevens[1] (1886-1945).
Un timbre d' la représente partiellement[2].
Le terrain loti est à l'origine propriété du banquier Daniel Dreyfus[3],[4].
La rue est ouverte et inaugurée le mercredi par le ministre du Commerce et de l'Industrie, des PTT et de l'Aéronautique Maurice Bokanowski, en présence du préfet de la Seine Paul Bouju, du préfet de police Jean Chiappe et du conseiller municipal d'Auteuil Jean Fernand-Laurent[5]. Marc Vaux assure le reportage photographique de l'événement. L'Excelsior titre « Le triomphe de la ligne droite »[6].
Cette courte voie en impasse est célèbre pour être bordée de bâtiments en ciment armé[7], tous conçus, à l'origine, par Robert Mallet-Stevens.
Globalement, les proportions d'origine ont été compromises par l'ajout d'étages dans les années 1970[8], leur protection en tant que site n'étant intervenue que par un arrêté du , alors qu'une annulation a frappé une première tentative d'inscription en janvier de la même année.
L'immeuble prévu par l'architecte pour occuper la (les) parcelle(s) qui aurait porté les no 9-11 n'a pas été réalisé[19].
À une date non donnée, les luminaires originaux[3] sont remplacés par une fourniture commune à celle de la ville de Paris.
En 1951-1953, le pavillon cubique du gardien (no 1) est étendu par l'architecte Roger Gonthier en direction du milieu de la voie.
Dans la seconde moitié du XXe siècle, le no 3/5 voit sa façade et ses formes polygonales défigurées[10].
Au XXIe siècle, Éric Touchaleaume, propriétaire de l'hôtel Martel, y fait installer la fontaine lumineuse, œuvre de Mallet-Stevens, pensée et réalisée à l'origine pour La Pergola à Saint-Jean-de-Luz.