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Naissance |
Rome, Latium Italie |
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Nationalité |
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Décès |
(à 58 ans) Villejuif, Val-de-Marne France |
Profession | réalisateur, documentariste, acteur |
Sandro Franchina, né le à Rome et mort le à Villejuif[1], est un réalisateur, documentariste et acteur italien.
Franchina est le fils du sculpteur Nino Franchina et le neveu du peintre futuriste Gino Severini. Enfant, il jouait déjà dans Europe 51 (1952) de Roberto Rossellini. Plus tard, il a fréquenté le Centro sperimentale di cinematografia ; de nombreux artistes importants faisaient partie de son cercle de connaissances et d'amis. Aux côtés de Marco Bellocchio, il a fait ses premières expériences en tant que coréalisateur de courts métrages avant de se concentrer sur les documentaires. Le film Israele Immagini, réalisé sur place, et un portrait de son oncle, réalisé sur de longues années, en sont des exemples remarquables. En 1966, il se lance dans la fiction. Avec Morire gratis (it), dans lequel le peintre Franco Angeli, ami de Franchina, interprète le rôle principal, il réalise un road-movie qui, à l'époque de sa première projection, n'a guère retenu l'attention des distributeurs et des critiques et n'a été perçu qu'après sa mort comme une contribution remarquable, pleine d'ironie et d'expérimentation[2]. Dans les années 1990, il réalise d'autres documentaires, dont son dernier Ciné-poèmes, réalisé en collaboration avec son ami Jean Rouch, une série de films influencés par les poèmes de Paul Fort[3].