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La section des Arcis était, sous la Révolution française, une section révolutionnaire parisienne[1].
Elle était représentée à la Commune de Paris par[2] :
La section n’a pas changé de nom depuis sa création.
Secteur compris entre le Châtelet et l’Hôtel de Ville.
La rue de la Joaillerie, à droite du pont au Change à la rue Saint-Jacques-la-Boucherie : la rue Saint-Jacques-la-Boucherie, à droite, jusqu’à la rue Planche-Mibray : la rue des Arcis, à droite, jusqu’à la rue de la Verrerie : la rue de la Verrerie, à droite, jusqu’à la rue du Coq : la rue du Coq, à droite, jusqu’à la rue de la Tixéranderie : la rue de la Tixeranderie, à droite, jusqu’à la rue du Mouton : la rue du Mouton et de suite la place de Grève, à droite jusqu’à la rivière : le bord de la rivière, depuis la place de Grève jusqu’au pont au Change[4].
Le quai de Gesvres, quai Pelletier, les rues de la Vieille-Place-aux-Veaux, de la Tannerie, de la Vannerie, de la Coutellerie, de la Planche-Mibray, Jean-Pain-Mollet, Saint-Bon, de la Poterie-des-Arcis, des Coquilles, etc., et généralement toutes les rues, culs-de-sac, places, etc.. enclavés dans cette limite.
La section des Arcis se réunissait dans l’église Saint-Jean-en-Grève, située derrière l'Hôtel de Ville, sur l'emplacement de l'actuelle rue de Lobau.
11 800 habitants, dont 850 économiquement faibles. La section comprenait 1 800 citoyens actifs.
Lors de la chute de Robespierre, le 9 thermidor an II (), la section des Arcis soutint la Convention nationale, sauf deux de ses représentants qui soutinrent la Commune de Paris, Nicolas Jérôme et François-Auguste Paffe.
Après le regroupement par quatre des sections révolutionnaires par la loi du 19 vendémiaire an IV () qui porte création de 12 arrondissements, la présente section est maintenue comme subdivision administrative, puis devient, par arrêté préfectoral du , le quartier des Arcis (7e arrondissement de Paris)[5].