De nos jours, Segodunum est devenu très pertinent dans le domaine _var2. Son importance a transcendé les frontières et a retenu l’attention des experts en la matière ainsi que du grand public. Segodunum a fait l'objet de nombreuses études et investigations qui cherchent à comprendre son impact sur _var3, et son influence sur _var4. Dans cet article, nous explorerons différents aspects liés à Segodunum, depuis son origine et son évolution jusqu'à ses implications dans la société actuelle. De plus, nous analyserons sa pertinence dans le contexte _var5 et sa projection future.
Segodunum | ||
![]() Inscriptions d'époque augustéenne trouvées à Rodez | ||
Localisation | ||
---|---|---|
Pays | ![]() |
|
Gaule aquitaine | ||
Type | Ville | |
Coordonnées | 44° 21′ 02″ nord, 2° 34′ 30″ est | |
Histoire | ||
Époque | Empire romain | |
Géolocalisation sur la carte : France
| ||
modifier ![]() |
Segodunum, actuelle Rodez, était la capitale des Rutènes, située sur un carrefour stratégique dans la province Aquitania prima et placée sur un oppidum. Les Rutheni, ont donné leur nom à l'actuelle ville Rodez (Ruth- ⇒ Rodez).
On y venait du nord est par Anderitum, via Ad Silanum ; on y passait en remontant de la Narbonnaise (voie d'Aquitaine) par Condatomago (La Graufesenque, sur Millau) ; on la rejoignait à l'ouest par une unique route via Carantomago (Cranton, commune de Compolibat).
Le territoire des Rutènes partageait au nord comme frontière naturelle avec les Arvernes et les Gabales, l'Aubrac la vallée du Lot ou Olt (nommé Oltis, Olindus ou Divona flumen par les cartographes du XVIIe siècle). À l'est la barrière naturelle des Cévennes, territoire des Gabales et Helviens. Au sud la Narbonnaise, chère aux Romains. À l'ouest le Cadurcii, territoire des remuants Cadurques de Lucterios et les Nitiobriges plus au sud-ouest.
Le toponyme gaulois Segdunon, romanisé en Segodunum, provient des racines sego (« fort ») et *dunon (« colline ») d'où Segdunon : « haute colline, place forte ».
Sego est lui-même issu de l'indo-européen commun *seǵʰ- (avoir, posséder, victoire), qui se retrouve dans l'allemand Sieg (victoire) et dans le nom de plusieurs peupes gaulois (Ségusiaves, Segovellaunes, Sègnes) et d'autres cités romaines d'origine gauloise (Sisteron/Segustero, Suze-la-Rousse/Segusa ou Sigonce/Segontia en France, Suse/Segusio en Italie) ou celtibère (Segovia, Segóbriga ou Segorbe en Espagne). Dunon est lui à l'origine (ou partage l'étymologie) du français dune, du vieil anglais et du vieil irlandais dun (« colline »), de l'irlandais dún (« forteresse »), de l'anglais town (« cité ») et down (« en bas » par perte du préfixe : adune en vieil anglais).