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Note des services de renseignement militaire bulgare rendant compte des concentrations alliées sur le front de Macédoine, préalable à l'offensive de rupture planifiée par les Alliés. Le commandant en chef allemand dans les Balkans, Friedrich von Scholtz, sceptique, procède à un redéploiement partiel des unités placées sous ses ordres pour parer à une menace, alors sous-évaluée par le commandement allemand.
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Erich Ludendorff ordonne la retraite des troupes allemandes positionnées en Belgique et dans le Nord de la France sur la position Siegfried, appuyée sur la Sambre.
Rencontre franco-belge de La Panne : le roi des Belges, Albert Ier, se voit proposer le commandement de l'ensemble des unités alliées engagées en Belgique.
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Ferdinand Foch, commandant en chef des troupes alliées, expose le matin au roi des Belges, commandant nominal de l'armée belge, ses projets d'offensive dans les Flandres.
Le haut-commandement allemand accepte d'une paix blanche avec les Alliés, en vue de mettre un terme au conflit.
signature d'un accord commercial entre le Reich et l'Ukraine, conférant aux puissances centrales d'importants avantages économiques en Ukraine, alors occupée par les troupes germano-austro-hongroises.
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Acceptation par le roi des Belges du projet d'offensive auquel l'armée belge doit participer.
Création du groupe d'armées Flandres, constitués d'unités françaises, britanniques et de l'armée belge, placé sous le commandement nominal du roi des Belges.
Accord du conseil de guerre interallié pour une offensive de grande ampleur en Macédoine. La directive alliée donne tout latitude à Louis Franchet d'Espèrey, commandant en chef des forces alliées en Macédoine, pour lancer une offensive dans les Balkans.
publication d'une note du gouvernement bulgare, réclamant une partie de la Thrace ottomane en compensation des territoires conquis par l'armée ottomane dans le Caucase.
Conquête de Gradsko, important nœud ferroviaire en arrière du front bulgare en Macédoine, et base arrière des unités germano-bulgares, dans le cadre de la manœuvre d'Uskub, visant à rompre le front tenu par les troupes de la quadruplice. Les approvisionnements qui s'y trouvent permettent aux unités franco-serbes qui la conquièrent de poursuivre leur avance sans attendre le ravitaillement.
Reconnaissance de la défaite par le prince héritier de Bavière, Rupprecht, dans un rapport adressé aux Dioscures.
Réception par Louis Franchet d'Espèrey des parlementaires bulgares ; le Français et les Bulgares sont dotés de pleins pouvoirs pour négocier la reddition bulgare.
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Percée franco-belge dans la région d'Ypres : Dixmude est libérée par les unités lancées dans l'exploitation de la percée obtenue la veille.
Au petit matin, les hommes de la colonne commandée par le général Jouinot-Gambetta attaquent Gradsko. La ville est définitivement conquise à 9 h 30.
Les troupes alliées engagées en Palestine franchissent le Jourdain et occupent le plateau du Golan, repoussant devant eux les unités ottomanes en déroute.
Démission du cabinet Hertling ; constitution d'un nouveau cabinet impérial allemand sous la présidence de Max de Bade, en vue de négocier une sortie du conflit.
signature par les Français et les Britanniques d'un nouvel accord interprétatif de l'Accord Sykes-Picot, qui reconnaît l'existence d'une zone d'influence française en Syrie mais établit l'unité du commandement allié sous le commandement d'Allenby.
Début du retrait d'Albanie des troupes austro-hongroises commandées par Karl von Pflanzer-Baltin, menacés par le retrait bulgare.
Évacuation de Damas par les troupes germano-ottomanes en retraite. Prise de contrôle de la ville par les nationalistes arabes.
Évacuation de Beyrouth par les services de l'administration et la garnison ottomanes du vilayet, alors que les Alliés poursuivent les troupes ottomanes en retraite.
Colonel BEM e.r. Marcel Weemaes, De l’Yser à Bruxelles. Offensive libératrice de l’Armée belge le 28 septembre 1918. Imprimerie P. François, 48 rue Kelle, 1200 Bruxelles, novembre 1969, 411 pages, 12 annexes, 34 cartes en sus.