Cet article abordera Servantes de Jésus du Venezuela, un sujet qui a suscité l'intérêt de nombreux chercheurs et spécialistes dans différents domaines de la connaissance. La pertinence de Servantes de Jésus du Venezuela se manifeste à travers son impact sur la société, la culture, l'histoire et le développement humain. Au fil du temps, Servantes de Jésus du Venezuela a suscité des débats, des recherches et des réflexions qui ont enrichi la compréhension de ce phénomène. Sous diverses perspectives et approches, les multiples facettes de Servantes de Jésus du Venezuela ont été analysées, révélant sa complexité et son influence sur divers aspects de la vie quotidienne. En ce sens, cet article vise à explorer le phénomène de Servantes de Jésus du Venezuela de manière complète et rigoureuse, en fournissant une vision large et actualisée de ce sujet.
Servantes de Jésus du Venezuela | |
Ordre religieux | |
---|---|
Institut | congrégation religieuse |
Type | contemplatif & apostolique |
But | adoration eucharistique, aide des prêtres et des séminaires. |
Structure et histoire | |
Fondation | 25 mars 1966 Caracas |
Fondateur | Carmen Rendiles Martínez |
Abréviation | S.d.J |
Liste des ordres religieux | |
Les servantes de Jésus du Venezuela (en latin : Congregatio Sororum Servarum Iesu) sont une congrégation religieuse féminine de droit pontifical dédiée à l'adoration du saint sacrement et l'aide des séminaires.
En 1951, Carmen Rendiles Martínez, religieuse vénézuélienne de la congrégation des servantes de l'Eucharistie, est nommée supérieure provinciale des communautés du Venezuela et de Colombie. Pendant son gouvernement, la congrégation connaît une grande expansion dans ces deux pays[1]. À la même époque, plusieurs changements se produisent au sein des servantes de l'eucharistie en France que les religieuses du Venezuela et de la Colombie ne partagent pas, créant une division entre elles[2]. En 1965, en accord avec le cardinal José Humberto Quintero, archevêque de Caracas, les religieuses du Venezuela et de Colombie se séparent de la maison française[1]et forment une congrégation autonome le [3]qui est reconnue de droit diocésain le par l'archevêque de Caracas[4]. Elles établissent la maison-mère à Caracas avec Carmen Rendiles comme supérieure générale, charge qu'elle exerce jusqu'à sa mort en 1977[1].
Le but de la congrégation est l'adoration du saint sacrement et l'aide des prêtres diocésains et des séminaires[5].
Elles sont présentes au Venezuela et en Colombie[6].
La maison-mère est à Caracas.
En 2017, la congrégation comptait 92 sœurs dans 18 maisons[7].