Dans le monde d'aujourd'hui, Shareware est devenu un sujet d'une grande pertinence et d'un grand intérêt pour une grande variété de personnes. De son impact sur la société à ses implications sur l'industrie, Shareware est un sujet qui continue de susciter débats et réflexions. Alors que les études et les recherches continuent de révéler de nouvelles facettes de Shareware, son importance dans notre vie quotidienne devient évidente. Dans cet article, nous explorerons différents aspects liés à Shareware et son influence dans divers domaines, dans le but de mieux comprendre sa portée et sa signification aujourd'hui.
Un shareware, partagiciel ou contribuciel, est un logiciel qui peut être utilisé gratuitement, mais avec des fonctionnalités limitées et/ou durant une période limitée. Après cette période d'essai, l'utilisateur doit rétribuer l'auteur s'il veut continuer à utiliser le logiciel. Lorsque les fonctionnalités du shareware sont limitées, on parle aussi de logiciel de démonstration.
Shareware est un mot valise anglais composé de to share (partager) et de ware, troncation de software.
L'office québécois de la langue française recommande le mot « partagiciel » comme traduction du mot « shareware ». On peut aussi trouver plus rarement le néologisme « contribuciel » (pour logiciel contributif)[1].
Un shareware peut être utilisé pendant une durée limitée ou un nombre d'utilisations qui sont indiquées par l'auteur. Cela permet de tester les fonctionnalités et voir si elles correspondent à ses besoins.
Au bout de cette période d'essai, il est possible soit de payer une contribution et continuer à utiliser le logiciel, soit de le désinstaller. Il est également permis de distribuer le logiciel à une autre personne, toujours pour essai.
Hormis l'utilisation légale du produit, le paiement de la licence peut aussi débloquer un certain nombre de fonctionnalités jusqu'alors inaccessibles[2].
Certains sharewares se contentent de rappeler à intervalles plus ou moins fréquents, à l'aide par exemple d'alertes ou de dialogues, que la période d'essai est échue. Ils sont parfois appelés « harceliciels », « nagware » ou « annoyware ».
Certains auteurs ne demandent que l'envoi d'une carte postale comme paiement de la licence, dans ce cas on parle de carticiel (postcardware). D'autres suggèrent simplement que l'utilisateur verse une contribution à l'organisation charitable ou humanitaire de son choix (careware).
Les premiers sharewares étaient disponibles en version complète et non limitée dans le temps. Ce mode de distribution n'a pas vraiment fonctionné : les clients continuaient d'utiliser le logiciel sans le payer. Depuis lors, les sharewares ont évolué en trois branches selon la conception qu'en a l'auteur :
Un shareware peut facilement être confondu avec un freeware, un logiciel abandonné (abandonware) ou un logiciel libre. Un shareware n'est pas un logiciel libre, car sa licence ne garantit pas les quatre libertés nécessaires pour qu'un logiciel soit libre. Le droit d'utiliser le logiciel est soumis à des conditions. Il peut être livré sans son code source. De plus, lorsque celui-ci est fourni, le droit de le redistribuer n'est pas automatiquement accordé. Enfin, la distribution du logiciel lui-même n'est pas forcément libre.