De nos jours, Sommier (orgue) est un sujet qui suscite un grand intérêt et un grand débat dans la société actuelle. Sa pertinence va des aspects personnels aux problèmes mondiaux, et son impact est évident dans différents domaines. Au fil du temps, Sommier (orgue) continue d'être un sujet d'actualité qui continue de susciter la controverse. Du point de vue de la recherche et de l'analyse, il est nécessaire d'approfondir les différents aspects couverts par Sommier (orgue) pour comprendre sa portée et son importance dans le monde contemporain. Dans cet article, nous approfondirons les aspects les plus pertinents de Sommier (orgue) et analyserons son influence sur la société actuelle.
Dans l'orgue, le sommier est le dispositif qui distribue l’air sous pression aux tuyaux sonores en fonction des touches actionnées et des registres sélectionnés par l’organiste. Selon l'importance et la disposition de l'instrument, il peut y avoir un seul ou plusieurs sommiers.
Le sommier est la partie la plus délicate de l’orgue, car il doit assurer une distribution parfaite et équilibrée du « vent » (air sous pression) venant de la soufflerie et la distribuer aux registres sélectionnés, sans fuites d’air qui pourraient faire « corner » l’instrument. L’étanchéité doit en être parfaite, ainsi que ce qu’on appelle l’« attaque » des notes.
Le vent arrive à la partie inférieure du sommier dans une sorte de caisson étanche (la laye) dont il peut sortir par des soupapes actionnées par l’organiste (la tige qui tire une soupape pénètre dans la laye au travers d’une boursette en cuir très souple qui assure l’étanchéité tout en permettant le mouvement). Il existe d'autres systèmes, à membrane notamment.
Le système du sommier à registre est le plus courant de nos jours.
Lorsqu’une soupape s’abaisse, l’air pénètre dans un autre espace, la gravure, qui dessert l’ensemble des tuyaux correspondant à la note sélectionnée. La gravure est surmontée de bas en haut :
La position du registre, tiré ou poussé, met en communication, ou non, la gravure avec le ou les tuyaux correspondants : l’air traverse alors, par les trous mis en regard, la table, le registre et la chape.
Un tuyau est donc sélectionné, et résonne, lorsque son registre est en position adéquate et que l’on appuie sur la touche qui le commande.
Dans le sommier à ressorts, l'admission du vent dans chaque tuyau est commandée non par une seule soupape commandée par le clavier, mais, au-dessus de cette dernière, par une autre petite soupape maintenue fermée par un ressort. Cette seconde soupape peut être ouverte avec toutes les autres relatives au même jeu, grâce une cheville manœuvrée à l'aide d'une tringlerie commandant l'ensemble. Cette tringlerie est donc soumise à la poussée des nombreuses soupapes qui tendent à se refermer et doit elle-même être maintenue en position, quand on veut actionner le jeu concerné, par un système à cran ou à crémaillère.
Ce système est évidemment plus complexe que le système à registres coulissants ; il offre en avantage une insensibilité supérieure aux conditions climatiques (les registres coulissants, s'ils sont en bois, gonflent ou se rétractent selon l'humidité de l'air, pouvant alors coincer ou permettre des fuites d'air. En revanche, la maintenance est plus lourde (nécessité d'ouvrir tout le sommier) et la fiabilité pas toujours au rendez-vous. Cet inconvénient peut être éliminé par le système à double tiroir, ou toutes les secondes soupages d'un même jeu sont placées dans un tiroir qui permet d'extraire l'ensemble pour effectuer les réparations sans démonter tout le sommier (photo ci-dessous).