Dans le monde d'aujourd'hui, Sous-unité protéique a acquis une importance sans précédent. Que ce soit de par son impact sur la société, l’économie, la science ou la culture, Sous-unité protéique occupe aujourd’hui une place de choix. Ses multiples facettes et sa pertinence dans différents domaines en font un sujet d’intérêt général. Dans cet article, nous explorerons les différentes dimensions de Sous-unité protéique et son influence sur la vie quotidienne. Grâce à une analyse approfondie et éclectique, nous chercherons à mieux comprendre l’importance de Sous-unité protéique aujourd’hui et ses implications potentielles pour le futur.
Une sous-unité protéique est une chaîne polypeptidique qui entre dans la constitution d'un complexe protéique par auto-assemblage. De nombreuses protéines sont constituées de plus d'un seul peptide : les protéines oligomériques sont formées de quelques chaînes polypeptidiques, par exemple l'hémoglobine et l'ADN polymérase ; d'autres peuvent en contenir un très grand nombre et sont dites multimériques, par exemple les microtubules et les protéines constitutives du cytosquelette.
Les sous-unités d'une protéine multimérique peuvent être identiques, homologues ou bien complètement différentes et dédiées à des tâches distinctes. Par exemple, une protéine constituée de deux sous-unités identiques sera qualifiée d'homodimérique, tandis que si les deux sous-unités sont dissemblables, elle sera qualifiée d'hétérodimérique.
Des enzymes peuvent ainsi posséder des sous-unités dites catalytiques, sur laquelle se trouve le site actif, et des sous-unités de régulation. On parle souvent d'holoenzyme pour désigner une enzyme dont toutes les sous-unités requises pour assurer l'intégralité de ses fonctions biologiques sont présentes.
Du point de vue génétique, chaque sous-unité d'une protéine ou d'une enzyme est encodée par un gène dédié.
Les sous-unités sont généralement nommées avec des lettres grecques, des chiffres romains, voire des lettres latines. Ainsi, l'ATP synthase possède deux sous-unités F1 et FO constituées elles-mêmes respectivement du complexe α3β3γδε pour la première et, chez l'homme, des sous-unités A, B, C, d, e, f, g, F6 et 8 (ou A6L), chacune codée par un ou plusieurs gènes.