Dans le monde d'aujourd'hui, Stansfield Turner est devenu un sujet de grande pertinence et de débat. Son impact couvre divers domaines de la société, de la politique à la culture populaire. Au fil du temps, Stansfield Turner continue d'être un sujet d'intérêt et d'analyse pour les experts et le grand public. Dans cet article, nous explorerons différents aspects liés à Stansfield Turner, de ses origines à son influence sur la vie quotidienne. De plus, nous examinerons les différentes perspectives et opinions autour de Stansfield Turner, dans le but d'offrir une vision globale et complète sur ce sujet d'importance mondiale.
Directeur central du renseignement | |
---|---|
- | |
President of the Naval War College | |
- | |
Benedict J. Semmes, Jr. (en) Julien J. LeBourgeois (en) |
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Sépulture |
United States Naval Academy Cemetery (en) |
Nationalité | |
Formation | |
Activités |
A travaillé pour | |
---|---|
Parti politique | |
Arme | |
Grade militaire | |
Distinctions |
Stansfield Turner, né le à Highland Park dans l'Illinois et mort le à Redmond[1], est un amiral et un haut fonctionnaire américain.
Il dirige la CIA entre 1977 et 1981.
Nommé par Jimmy Carter, il a dirigé la CIA durant le renversement du Chah d'Iran Mohammad Reza Pahlavi puis son remplacement par l'ayatollah Rouhollah Mousavi Khomeini. Il était également responsable de la CIA lors de l'invasion de l'Afghanistan par les Soviétiques, mettant sur pied le programme afghan, qui visait à soutenir militairement les moudjahidines combattant le gouvernement afghan et son allié soviétique.
Il a été responsable du licenciement de plus de 600 travailleurs de la CIA. Il a été dénoncé par des professionnels du renseignement, y compris de son agence, d'avoir voulu faire plus confiance aux ordinateurs qu'à son personnel[réf. nécessaire].