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Sylvette Cabrisseau est une speakerine, romancière[1], actrice et chanteuse française, née en 1949.
Originaire de la Martinique, Sylvette Cabrisseau y est animatrice radio et télé quand le directeur de la régionalisation lui conseille de venir tenter sa chance à Paris où elle arrive le . Elle est alors engagée comme speakerine à RTL. En 1969, à l'issue d'un concours, elle intègre l'ORTF où elle présente pour la première fois les programmes le . Originaire des Antilles, elle est la première speakerine noire de la télévision.
En 1970, elle enregistre le 45 tours Tchou-tchou-ki, version chantée d'une danse populaire déjantée de l'époque[2]. En mai de la même année, elle mord trois agents de police qui voulaient, pour des raisons de sécurité, l'empêcher de passer à pied avenue Kléber où se tenait la conférence pour la paix au Vietnam. Elle passe quatre heures au commissariat et les trois agents sont conduits à la Maison de santé des gardiens de la paix[3]. Elle est inculpée de coups et blessures[4].
Elle se serait depuis reconvertie dans la gestion de maisons d'hôtes à Londres[5].
Elle a également posé nue, et tourné avec Jacques Martin[6].
Gisèle Pineau lui rend hommage dans son roman L'exil selon Julia[7].