Le sujet de Tameshi giri a suscité un grand intérêt au fil des années, tant parmi les experts que parmi le grand public. La pertinence de Tameshi giri dans le contexte actuel ne peut être négligée, car elle impacte divers aspects de la vie quotidienne, de la santé à la politique. Cet article vise à offrir une vision complète et actualisée de Tameshi giri, abordant ses implications, son évolution dans le temps et les perspectives futures envisagées autour de ce sujet. A travers une analyse détaillée et rigoureuse, nous cherchons à offrir au lecteur un panorama clair et enrichissant qui lui permet de bien comprendre l'importance de Tameshi giri aujourd'hui.
Le terme tameshi giri (試切 ) signifie littéralement « test de coupe ». Il s'agit de tester la capacité de coupe, et donc la qualité d'une lame, notamment de katana.
Au Moyen Âge, les tests se faisaient sur différents supports tels que des barres de fer, des casques de combat, des armures, des cadavres empilés, voire, dans certains cas et en fonction de l'exigence du forgeron ou de son « client », sur des condamnés à mort entravés. Le nombre de corps coupés lors du test était inscrit sur la soie de la lame (nakago) sous la forme de traits de lime. Certains forgerons, sûrs de la qualité de leur ouvrage, allaient jusqu'à revêtir le kimono cérémonial blanc sous leur vêtement au cas où l'échec des tests de leur lame les oblige à faire seppuku.
De nos jours, les tests de coupe se font sur des bottes de paille de riz ou de roseau, parfois renforcées en leur centre d'une tige de bambou, pour restituer la texture d'un cou humain.
Le tameshi giri est fréquemment confondu avec le battōdō, l'art de la coupe qui, associé au iaidō, constitue l'aboutissement de la voie.