Dans le monde d'aujourd'hui, Tchapaïevka est devenu un sujet d'actualité et pertinent qui touche des personnes de tous âges et de tous horizons. Depuis ses origines jusqu'à aujourd'hui, Tchapaïevka a suscité un grand intérêt et un grand débat dans la société, influençant la façon dont les gens interagissent, pensent et se développent. Dans cet article, nous explorerons les différents aspects liés à Tchapaïevka, de son impact sur la vie quotidienne jusqu'à son influence sur le domaine professionnel. A travers une analyse détaillée, nous apprendrons comment Tchapaïevka a transcendé les frontières et laissé une marque significative dans l'histoire et le présent.
Tchapaïevka | |
![]() | |
Caractéristiques | |
---|---|
Longueur | 298 km |
Bassin | 4 310 km2 |
Bassin collecteur | Volga |
Débit moyen | 2,53 m3/s (à 179 km de la confluence) |
Régime | nival |
Cours | |
Source | sur les pentes du Siny Syrt |
Confluence | Volga |
Géographie | |
Pays traversés | ![]() |
Principales localités | Tchapaïevsk |
modifier ![]() |
La Tchapaïevka (en russe : Чапа́евка) ou Motcha (Мо́ча) est une rivière de l'oblast de Samara, en Russie, et un affluent de la rive gauche de la Volga.
La rivière fut d'abord nommée Motcha — qui est l'homonyme russe du mot urine (моча). En 1925, elle fut renommée Tchapaïevka en l'honneur de Vassili Tchapaïev, un héros communiste de la guerre civile.
Elle prend sa source sur les pentes du Siny Syrt et se jette dans le réservoir de Saratov, près de Novokouïbychevsk, dans l'agglomération de Samara.
Elle est longue de 298 km[1], draine un bassin versant de 4 310 km2[1]. Son débit est de 2,53 m3/s, mesuré à 179 km de sa confluence avec la Volga[1].
La Tchapaïevka arrose la ville de Tchapaïevsk.
Elle est navigable sur ses 34 derniers kilomètres. Elle est alimentée par la fonte des neiges et s'assèche dans son cours supérieur. Elle est habituellement gelée de novembre à avril.
Ses principaux affluents sont la Petrouchka, la Vetlianka et la Viazivka.
Le 4 mars 2024, le renseignement militaire ukrainien (GUR) affirme avoir endommagé le pont ferroviaire de la rivière Tchapaïevka, situé dans la région russe de Samara, à plus de 750 km de la frontière ukrainienne, qui permettait de transporter du matériel militaire, comme des explosifs produits dans l'usine Polimer de la ville de Tchapaïevsk[2].