Dans cet article, la question de The Grand Rapids Press sera abordée, qui revêt une importance capitale dans divers domaines de la société. The Grand Rapids Press fait l'objet d'études et d'intérêt depuis de nombreuses années, et sa pertinence reste valable aujourd'hui. Tout au long de l'histoire, The Grand Rapids Press a joué un rôle crucial dans la vie des gens, que ce soit au niveau personnel, professionnel ou académique. À travers cet article, nous visons à approfondir la connaissance et la compréhension de The Grand Rapids Press, en explorant ses différentes facettes et implications possibles dans la société moderne. A travers une analyse détaillée et exhaustive, nous chercherons à mettre en lumière les aspects importants liés à The Grand Rapids Press, afin d'offrir une vision complète et enrichissante au lecteur.
The Grand Rapids Press est le principal quotidien de Grand Rapids (Michigan), la deuxième ville du Michigan.
Le journal ne prendra son titre actuel qu'en 1913[1]. Il s'appelle tout d'abord The Morning Press, lorsqu'il est fondé par William J. Sproat le , au 63 Pearl Street, au moment où la ville est en pleine croissance démographique. Deux ans après, le magnat des médias George G. Booth, gendre de James Edmund Scripps (1882–1952), journaliste et homme d'affaires américain du Michigan l'a racheté. Il décide d'en faire à partir du un quotidien du soir, comme l'est The Detroit News, membre aussi de l'Evening Press Association qu'il a fondée. Son frère Edmund Wood Booth (1866-1927) en devient le patron[2].
Plus tard, George G. Booth rachète deux autres quotidiens de et décide de donner à leur association le nom de The Grand Rapids Press, en 1913[3] Il souhaite que frère Edmund Wood Booth (1866-1927) devienne le patron non seulement de ce regroupement mais de l'ensemble du groupe de presse qui est créé l'année suivante, lorsque l'autre frère frère, Ralph Harmann Booth (1873-1931) y apporte d'autres journaux. Avec un tirage quotidien de 88 000 exemplaires, c'est au début du XXe siècle, le plus vendu des quotidiens de l'empire de presse des Booth, la Booth Publishing Company[4] En 2011, c'était le 76e quotidiens des États-Unis avec un tirage moyen prouvé de 133.000 exemplaires en semaine[5].