Dans cet article, nous explorerons la vie fascinante de Tomoko Kami, un personnage qui a laissé une marque indélébile dans l'histoire de l'humanité. De ses humbles débuts à son ascension vers la gloire, nous plongerons dans les détails les plus intimes de sa carrière. Parallèlement à cela, nous analyserons son impact sur la société et son héritage durable. Tomoko Kami a été une source d'inspiration pour beaucoup, et à travers cet article, nous espérons faire la lumière sur sa vie et ses contributions importantes.
Tomoko Kami | |
Tomoko Kami en 2012, lors d'un meeting politique. | |
Fonctions | |
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Conseillère du Japon | |
En fonction depuis le (23 ans, 8 mois et 16 jours) |
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Élection | 29 juillet 2001 (en) |
Réélection | 29 juillet 2007 (en) 21 juillet 2013 21 juillet 2019 |
Circonscription | Représentation proportionnelle |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Kiyota-ku, Sapporo, Hokkaidō, ![]() |
Parti politique | Parti communiste japonais |
Diplômée de | Université Hokushō (en) |
Profession | Femme politique |
Site web | Site officiel de Tomoko Kami |
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Tomoko Kami (紙智子, Kami Tomoko ) est une femme politique japonaise née le . Figure du Parti communiste japonais, elle est élue à la chambre des conseillers du Japon au scrutin proportionnel.
Kami naît le à Sapporo. Elle obtient en 1975 un diplôme du département Arts et Métiers de l'Université Hokushō (en), à Ebetsu[1]. Son premier travail est dans une entreprise textile, spécialisée dans la confection de blouses et de vêtements pour le personnel hospitalier, située dans la rue commerçante Tanukikōji (ja), à Sapporo[2].
Elle rejoint le Parti communiste japonais en 1975, s'inspirant de son frère[2].
Elle commence sa carrière électorale en se présentant aux élections à la chambre des conseillers du Japon de 1986 (en), sans succès. Elle se présente également aux élections de la chambre des conseillers de 1992 (en) et de 1998 (en), sans succès[1],[2]. Elle se présente également aux élections législatives japonaises de 1993, de 1996 et de 2000, toujours sans succès[1].
Elle est enfin élue le 29 juillet 2001, à l'issue des élections à la chambre des conseillers du Japon de 2001 (en)[2]. Elle est élue à la représentation proportionnelle nationale, et est réélue en 2007 (en), en 2013 et en 2019[1]. Au sein de la chambre des conseillers, elle siège dans plusieurs commissions, comme celle de l'agriculture, des forêts et des pêches, mais également le comité spécial du nord d'Okinawa et le comité spécial de reconstruction du grand séisme de l'est du Japon[2].
Kami siège au comité permanent du Parti communiste japonais, et dirige le bureau de l'agriculture, des forêts et de la pêche du parti[1].
Kami s'oppose fortement à l'accord de partenariat transpacifique, s'inquiétant de ses conséquences sur les travailleurs japonais, aussi bien dans le domaine de l'agriculture que dans le domaine médical[2]. Elle argumente notamment qu'une levée des frais de douanes conduira à une réduction des emplois et à une baisse des salaires, en raison de la concurrence établie[3].
Comme plusieurs personnalités du Parti communiste japonais, Kami est opposée à l'utilisation de l'énergie nucléaire, qu'elle soit militaire ou civile; et souhaite favoriser grandement les énergies renouvelables[2].
Kami est une amatrice de volley-ball, qu'elle a pratiqué dans sa jeunesse, tout d'abord dans l'équipe de son lycée, puis dans celui de son entreprise[2].
Elle épouse en 1997 Katsuto Ochiyama, un homme âgé de quinze années de plus qu'elle[2]. Ce dernier décède en 2012, à l'âge de 72 ans[4].