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Tony Laflamme est une série comique de bande dessinée publiée initialement dans Pilote (1963-1971) et reprise dans Tintin (1973) et Hop! (1993). C’est Martial[1] qui assura intégralement scénarios et dessins.
Tony Laflamme | |
Série | |
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Dessin | Martial |
Genre(s) | Franco-belge Humour |
Pays | ![]() |
Langue originale | Français |
Éditeur | Dargaud ABDL Le Taupinambour |
Première publication | n°198 de Pilote |
Prépublication | Pilote |
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La Daltonie est une petite principauté d’Europe centrale dont l’architecture est d’inspiration germanique. Le pays est dirigé par le prince Gustave, débonnaire chauve à la barbe fournie. Les finances de la principauté sont au plus bas à telle enseigne que l’armée est réduite à sa plus simple expression, celle d’une baderne galonnée le général Klatboum et du simple soldat Tony Laflamme. Bien évidemment ce dernier est le souffre-douleur du premier. Tout ceci reste bien sûr bon enfant.
L’idée récurrente de la saga est de faire parler de la Daltonie pour mieux renflouer ses caisses. Inviter les plus grands milliardaires de la planète (Rien ne va plus), créer une réplique du pont de la rivière Kwaï (Le pont de la rivière Seltz), fabriquer un faux monstre lacustre alors que bien évidemment un vrai sommeille (Le monstre du Volapük, Le retour du monstre), etc.
Non destinée à être publiée en albums, chaque histoire connait un nombre de pages aléatoires. 28 pour le monstre du Volapük, 36 pour Athlète olympique mais en général à de rares et tardives exceptions autour de la trentaine.
Sans être exceptionnel, l’humour y est de bon aloi. En revanche, il est intéressant de noter que la série essayait de suivre l’air du temps.
Tony Laflamme se rend bien à Tokyo comme athlète lors des Jeux Olympiques de 1964, il participe à la course à la Lune (1967 et 1968) à une époque où les Américains sont sur le point d’atteindre leur objectif. Outre le pont sur la rivière Kwaï déjà évoqué plus haut, on trouve une référence au Volapük, langue universelle à l’instar de l’espéranto, mise à la connaissance des Français lors d’un des discours du général De Gaulle en .
Bref, pour qui veut s’en donner la peine la série est riche de référents plus ou moins oubliés.
11. Tony Laflamme décore le sapin du mess (#269 /1964) : 1 planche
12. La rébellion de Tony Laflamme (#360 /1966) : 6 planches
13. Les tyrans ont la dent dure (#571 /1964) : 2 planches
Dans Super Pocket Pilote
Toutes les histoires publiées dans Super Pocket Pilote sont des récits complets.
ATTENTION le nombre de planches indiquées infra est celui de ce petit format. Ramené au format traditionnel cela correspond grosso modo à une demi-planche.
14. L’ennui naît de l’uniforme(ité) (#1/ 1968) : 8 planches
15. Tony Laflamme et l’envoyé du diable (#5/ 1969) 8 planches
16. La face nord du Volapük (#8/ 1970) 16 planches
Dans Tintin l’Hebdoptimiste
Reprise du Monstre du Volapük (#48-52/ 1973)
17. Casque Bleu (#66-72/ 1974) : 44 planches
Pour des raisons inconnues, l’édition est en format à l’italienne