Le nom Tricholomatoïde évoque différentes émotions et opinions chez les gens. De l'admiration et du respect au rejet et à l'indifférence, Tricholomatoïde a été une source de débat et d'intérêt au fil du temps. Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes et perspectives liées à Tricholomatoïde, depuis son origine et sa signification jusqu'à sa pertinence aujourd'hui. Grâce à une analyse détaillée, nous cherchons à faire la lumière sur ce sujet et à fournir une vision complète et objective qui invite à la réflexion et à la compréhension.
Le clade Tricholomatoïde est une division phylogénétique des Agaricales proposée en 2006. C'est le cinquième des six clades des Agaricales. Quoique fort proche, cette division va donner une vision plus claire des Agaricales et des Agaricaceae et classer de nombreux Incertae sedis, ces familles[Lesquelles ?] que la classification ne pouvait classer par son approche morphologique seule.
La recherche moléculaire phylogénétique va démontrer que le clade euagarics équivaut grosso modo aux Agaricales de Singer stricto sensu [1]. Une étude complémentaire va préciser ces hypothèses[2].
En 2006, dans une étude à grande échelle réalisée on va utiliser des séquences d'acides nucléiques représentant six gènes des régions de 238 espèces dans 146 genres pour explorer le regroupement phylogénétique au sein des Agaricales, l'analyse va montre que la plupart des espèces testées peuvent être regroupées en six clades qui ont été nommés Agaricoïde, Tricholomatoïde, Marasmioïde, Pluteoïde, Hygrophoroïde et le clade Plicaturopsidoïde.
L'étude a reconnu 30 familles, quatre genres incertae sedis qui n'étaient pas encore intégrés et propose deux clades à titre informels[3].