UDP-glucose pyrophosphorylase

Cet article abordera le sujet de UDP-glucose pyrophosphorylase, un concept qui a gagné en pertinence ces dernières années en raison de son impact sur divers aspects de la vie quotidienne. Depuis son émergence, UDP-glucose pyrophosphorylase a capté l’attention des experts et du grand public, suscitant débats, recherches et interprétations différentes. Au fil du temps, UDP-glucose pyrophosphorylase est devenu un sujet d’intérêt tant dans le monde universitaire que dans les conversations quotidiennes, et son influence s’est étendue à de multiples domaines, devenant ainsi un point de référence fondamental pour comprendre les phénomènes actuels. Dans cette revue, différentes perspectives sur UDP-glucose pyrophosphorylase seront explorées, afin de fournir une vision large et enrichissante de sa pertinence et de son impact sur la société contemporaine.

UDP-glucose pyrophosphorylase
Image illustrative de l’article UDP-glucose pyrophosphorylase
Octamère d'UDP-glucose pyrophosphorylase humaine (PDB 4R7P[1])
Caractéristiques générales
Symbole UGP2
Homo sapiens
Locus 2p15
Masse moléculaire 56 940 Da[2]
Nombre de résidus 508 acides aminés[2]
Liens accessibles depuis GeneCards et HUGO.

L’UDP-glucose pyrophosphorylase, également appelée glucose-1-phosphate uridylyltransférase, est une nucléotidyltransférase intervenant dans la glycogénogenèse. Elle produit l'UDP-glucose à partir de l'UTP et du glucose-1-phosphate :

  +          +  
Glucose-1-phosphate   Uridine triphosphate   Uridine diphosphate glucose   Pyrophosphate

Notes et références

  1. (en) Jana Indra Führing, Johannes Thomas Cramer, Julia Schneider, Petra Baruch, Rita Gerardy-Schahn et Roman Fedorov, « A Quaternary Mechanism Enables the Complex Biological Functions of Octameric Human UDP-glucose Pyrophosphorylase, a Key Enzyme in Cell Metabolism », Scientific Reports, vol. 5,‎ , p. 9618 (PMID 25860585, DOI 10.1038/srep09618, Bibcode 2015NatSR...5E9618F, lire en ligne)
  2. a et b Les valeurs de la masse et du nombre de résidus indiquées ici sont celles du précurseur protéique issu de la traduction du gène, avant modifications post-traductionnelles, et peuvent différer significativement des valeurs correspondantes pour la protéine fonctionnelle.