Dans le monde d'aujourd'hui, Village Roadshow Theme Parks a acquis une importance particulière dans différents domaines de la société. Que ce soit dans la politique, l’économie, la technologie, la culture ou la vie quotidienne, Village Roadshow Theme Parks est devenu un sujet de conversation récurrent et percutant. Ses implications et ses répercussions ont suscité des débats, des analyses et des recherches visant à en comprendre le sens et la portée. Sous différents angles, Village Roadshow Theme Parks a influencé la prise de décision et la façon dont les gens interagissent les uns avec les autres. Dans cet article, nous explorerons l'impact de Village Roadshow Theme Parks et comment il a façonné notre réalité actuelle.
Village Roadshow Theme Parks | |
![]() | |
Siège social | Gold Coast![]() |
---|---|
Direction | Graham Burke |
Actionnaires | Village Roadshow |
Activité | Tourisme et loisirs |
Société mère | Village Roadshow |
Sociétés sœurs | Village Roadshow Pictures |
Site web | Australie, Nouvelle-Zélande, États-Unis |
Fonds propres | 239 millions A$ (2009) ![]() |
Chiffre d'affaires | 101,1 millions A$ (2009)[2] |
Résultat net | 42,7 millions A$ (2009) ![]() |
modifier - modifier le code - voir Wikidata ![]() |
Village Roadshow Theme Parks est une filiale de la multinationale australienne Village Roadshow Limited qui gère plusieurs parcs à thèmes et d'attractions en Australie, en Nouvelle-Zélande et aux États-Unis (via Village Roadshow Theme Parks USA Inc).[1]
Le Sydney Attractions Group Pty Ltd en faisait partie jusqu'à sa vente en 2010 au britannique Merlin Entertainments pour 115 millions de dollars australiens[4],[5].
Le groupe a l'intention d'investir dans les parcs à thème chinois à la suite de la vente de sa participation (à hauteur de 52,5 %) dans la société audiovisuelle Austereo. Cette vente représente 362 millions de A$[6].
Dans les années 2010 il signe une lettre d'intention (en) avec le groupe américain SeaWorld pour co-développer des parcs à thème en Chine, en Asie du Sud-Est et en Russie. À la suite de la pression de l'opinion publique australienne et à l'appel de l'association Australia for dolphins, il est contraint en à s'engager à ne pas présenter dans ces structures des cétacés nés et capturés en milieu sauvage[7]. Il annonce également son retrait du projet de construction du parc marin Ocean Paradise sur l'île d'Hainan, en Chine[8].
Ces six parcs ont tous été vendu au groupe britannique Merlin Entertainments en 2010[9].