Dans cet article, nous analyserons l'impact que Vincent Michelot a eu sur divers aspects de la société. Depuis son apparition, Vincent Michelot a suscité un grand intérêt et un grand débat dans différents domaines, et il est important d'étudier son influence sur la culture, l'économie, la politique et d'autres aspects pertinents. Tout au long de cet article, nous examinerons comment Vincent Michelot a transformé la façon dont les gens interagissent, modifié la dynamique au sein de certaines industries et provoqué des changements significatifs dans la mentalité collective. Grâce à une analyse complète, nous tenterons de mieux comprendre l'impact global de Vincent Michelot et son rôle dans l'évolution de la société moderne.
Naissance | |
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Nationalité |
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Formation | École normale supérieure de Fontenay-Saint-Cloud-Lyon |
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Titres | Professeur des universités à Sciences Po Lyon |
Profession | Professeur d'université (d) |
Employeur | Institut d'études politiques de Lyon |
Travaux | Présidence des États-Unis - Cour suprême des États-Unis - Congrès des États-Unis |
Approche | Américanisme, Anglais américain |
Partisans (A influencé) |
Denis Lacorne, Romain Huret, Marie-France Toinet, Alix Meyer |
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Vincent Michelot, né le , est un universitaire français spécialiste de l'histoire politique des États-Unis. Il a été directeur de l'Institut d'études politiques de Lyon.
Vincent Michelot a étudié à l'École normale supérieure de Fontenay-Saint-Cloud (1981)[1]. En 1984, il a été reçu à l'agrégation d'anglais[1]. Il est titulaire d'un doctorat à la suite de la défense d'une thèse portant sur les nominations à la Cour suprême des États-Unis (Les nominations à la Cour suprême des États-Unis (1937-1987) : aspects politiques), à l'université d'Aix-Marseille (université de Provence) en 1996.
Il est titulaire d'une habilitation à diriger des recherches de l'Institut d'études politiques de Paris sur la dynamique des pouvoirs aux États-Unis obtenue en 2004.
Il effectue son service militaire au consulat de France à Houston en 1986-1987, en tant qu'attaché culturel. Il a enseigné au Amherst College, à l'université Brown ainsi qu'à l'université de Virginie.
À la suite de son séjour comme boursier Fulbright à Charlottesville (1991-1992), il a créé avec ses collègues américains des départements de français, d'histoire et de sciences politiques un programme d'échange universitaire particulièrement actif entre l'université de Virginie d'un côté et l'Institut d'études politiques de Lyon et l'université Lyon 2 de l'autre.
Directeur des relations internationales de Sciences Po Lyon entre et , il fait profiter cette institution de sa connaissance du système universitaire américain pour l'extension du nombre de partenariats disponibles.
Il a été élu directeur de Sciences Po Lyon par le conseil d'administration de l'Institut le , avec 22 voix pour et 6 abstentions[2]. Le , il quitte ses fonctions après la démission de son équipe dirigeante pour cause de désaccord[3].
Vincent Michelot est professeur des universités à l'Institut d'études politiques de Lyon, où il enseigne l'histoire politique des États-Unis.
Vincent Michelot a été vice-président du jury de l'agrégation externe d'anglais de 2008 à 2010[1].
Il participe également régulièrement à des conférences au Miller Center of Public Affairs de l'Université de Virginie, ou au CERI (IEP de Paris). Invité fréquent des différentes chroniques de RFI, France Info et de France Culture, il contribue régulièrement à l'analyse de la vie politique américaine, notamment sur le site internet du journal Le Monde.
Il est l'auteur de L'empereur de la maison blanche (2004) et de Le président des États-Unis : Un pouvoir impérial ? (2008). Auteur de nombreux articles sur la vie politique contemporaine des États-Unis dans des revues telles Le Débat, Hérodote, La Revue française d'études américaines, Politique américaine, Vingtième siècle ou encore la Revue de l'IRIS. Il est coorganisateur de l'Atelier Amérique du Nord[4]. Il a codirigé avec Olivier Richomme, Le Bilan d'Obama, paru en 2012 aux Presses de Sciences Po[5].
En , il est nommé attaché de coopération universitaire auprès de la mission culturelle et universitaire française à Washington D.C
Fin , Vincent Michelot affirme que Donald Trump « n’a aucune envie de devenir président des États-Unis » et que sa candidature « n’a aucune chance d’aboutir. Ce n’est que de la pub pour son empire immobilier et pour ses émissions télé, pub qu’il fait sur le dos du processus démocratique américain »[6]. Alors que Donald Trump est sur le point de remporter les primaires républicaines, en , Vincent Michelot estime que ses chances d'être élu président sont « quasi nulles » et conditionnées à la survenue d'un événement exceptionnel[7]. Une fois Donald Trump élu, il concède « une faillite collective dans l'analyse de l'évolution de l'électoral américain » et « reconna avoir -même échoué à en mesurer l'ampleur »[8].