Dans cet article, nous explorerons et analyserons en profondeur Vipèrerie, un sujet qui a retenu l'attention de personnes d'horizons et d'intérêts différents. Dans le but d'offrir une vision complète et éclairante, nous aborderons différents aspects liés à Vipèrerie, de son origine et son évolution jusqu'à son impact sur la société actuelle. Grâce à une approche multidisciplinaire, nous examinerons sa pertinence dans divers contextes et comment elle a façonné la façon dont nous percevons et comprenons le monde qui nous entoure. De même, nous donnerons la parole à des experts et protagonistes du domaine, dont les expériences et les connaissances enrichiront la compréhension de Vipèrerie et sa signification aujourd'hui.
Une vipèrerie était une propriété sur laquelle on élevait des vipères. Ce reptile était dès le XVIIe siècle très prisé par la pharmacopée et les « médecins » de l'époque[1]. À partir de l'animal tout entier, on préparait des onguents, des bouillons et des poudres de vipère, censés guérir, pur ou en mélange, toutes sortes de maux. Certaines vipèreries furent exploitées jusqu'au XIXe siècle, mais à cette époque, seul le venin de l'animal était exploité. On rapporte l'existence de tels lieux dans l'ancien comté de Neuchâtel près d'Avenches[2] et dans l'actuel Jura vaudois à Baulmes[3],[4],[5].