Dans cet article, nous explorerons en profondeur toutes les facettes liées à Xertigny, en abordant son importance dans différents contextes et en analysant ses implications possibles pour notre vie quotidienne. Tout au long de l’histoire, Xertigny a joué un rôle crucial dans le développement de diverses disciplines, et sa pertinence continue d’être débattue aujourd’hui. De ses origines à son évolution à l’ère moderne, nous examinerons son influence sur la société, la culture, la science, la technologie et bien d’autres aspects de notre vie quotidienne. Grâce à une approche interdisciplinaire, nous visons à mettre en lumière les différents aspects qui composent Xertigny, en approfondissant ses implications et en offrant une vision globale qui nous permet de comprendre sa portée et sa pertinence aujourd'hui.
La commune est située dans le bassin versant de la Saône au sein du bassin Rhône-Méditerranée-Corse. Elle est drainée par le Coney, la Semouse, l'Aitre, le Bagnerot, le ruisseau de Cône, le ruisseau du Roulier, le ruisseau de Rupt Guene et le ruisseau du Rechentreux[Carte 1].
Le Côney, d'une longueur totale de 55,2 km, prend sa source dans la commune de Dounoux et se jette dans le canal de l'Est à Corre, après avoir traversé 20 communes[3].
L'Aitre, d'une longueur totale de 10,7 km, est entièrement situé sur le territoire communal. Il prend sa source dans le bois Beaudin, en limite sud-est du bourg, s'écoule vers le nord-ouest et se jette dans le canal de l'Est, en limite de commune avec Charmois-l'Orgueilleux[5].
Le Bagnerot, d'une longueur totale de 13,4 km, prend sa source dans la commune et se jette dans le Côney à La Vôge-les-Bains, après avoir traversé quatre communes[6].
Le ruisseau de Cône, d'une longueur totale de 12,4 km, prend sa source dans la commune de Bellefontaine et se jette dans le Côney sur la commune, après avoir traversé cinq communes[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 307 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 11,1 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bains », sur la commune de La Vôge-les-Bains à 12 km à vol d'oiseau[10], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 356,7 mm.
La température maximale relevée sur cette station est de 40,8 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21,4 °C, atteinte le [Note 1],[11],[12].
Au , Xertigny est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15].
Elle est située hors unité urbaine[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Épinal, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[16]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (53,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (41,5 %), prairies (20,4 %), terres arables (19,9 %), zones agricoles hétérogènes (12,1 %), zones urbanisées (5,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,8 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Voies de communications et transports
Voies routières
Les voies de communication convergent vers le centre, mais l'habitat reste assez dispersé dans les divers hameaux : Moyenpal, Granges, Amerey, la Gare, le Charmois, la Regingotte, le Bozet, le Roulier, les Granges Richard.
Commune située dans une zone de sismicité moyenne[20].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Scatiniaco (XIe – XIIe siècle), Eschateingneix (1272), Eschatignei (XIIIe siècle), Scatinheio, (1334), Xartigny (1409).
Il s'agit d'une formation tardive en -iacum suffixe localisant et déterminant la propriété, précédé du nom de personne germanique Scatto(n)[21].
Au XVIIIe siècle, Xertigny se prononçait Certigny[22].
La guerre de Trente Ans (1618-1648) fait rage à Xertigny[25]. À Amerey, le nom du lieu-dit les Bombédeyes[26] trouve son origine dans le bombardement d'une maison chemin de la Louvière, tandis que la tradition orale d'Amerey[27] localise un cimetière de soldats suédois au lieu-dit le Pré Malgras.
En 1642, la peste est également la cause d'une mortalité importante. Un grand cimetière est établi en rase campagne, sur le chemin de l'étang des Mottes[25].
Le , Xertigny est choisi comme l'un des 60 chefs-lieux de canton des Vosges.
Le , Alexis Lallemand, propriétaire des forges d'Uzemain, installe une usine pour l'affinage de la fonte, de la ferraille et l'étirage du fer, dans un terrain qui lui appartient, sur le lit du ruisseau d'Amercy, au lieu-dit les Battants de Rosey.
Reconstruction du viaduc de Xertigny en 1870.
En 1865, le jeune Haut-Marnais Victor Champion, venu se fixer au chef-lieu de la Vôge après des études brassicoles à l’école bavaroise de Weihenstephan, fonde la brasserie « La Lorraine » à l'effigie de Jeanne d'Arc. Sa succession revient à son gendre Henri Trivier et la société regroupe à travers la France, cinq brasseries et de nombreuses tavernes et dépôts. Rachetée par la toute puissante brasserie meurthe-et-mosellane de Champigneulles, La Lorraine ferme définitivement ses portes le [29].
En , de violents combats ont lieu entre les troupes françaises qui résistent au déferlement allemand. Des unités éparses sont réunies sous le commandement de valeureux officiers du 23eGroupe de reconnaissance de corps d'armée (GRCA) dont plusieurs tomberont ou seront blessés (Cdt de Saint-Sernin, Capitaine Raymond Rogier, Lieutenant Warnier entre autres).
En mai 1982, un spectaculaire accident ferroviaire survient au viaduc de Granges. À la suite d'une collision avec un véhicule de travaux, un train tombe du viaduc[30].
La localité est jumelée depuis 1993 avec Lauf (Bade-Wurtemberg), cité allemande située dans l'arrondissement de l'Ortenau, en Forêt-Noire. Mais ce jumelage, malgré diverses rencontres[36], est actuellement en sommeil depuis 2012[37].
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[39].
En 2022, la commune comptait 2 572 habitants[Note 3], en évolution de −2,13 % par rapport à 2016 (Vosges : −2,96 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Auparavant, une Fête des Pissenlits était organisée par la Confrérie des Gousteurs des Produits du Pissenlit[46].
Chaque année, depuis 2015, le Festival Xerpils - Musik Fabrik est organisé en Octobre par la commune avec des concerts à la Salle Polyvalente le Vendredi et le week-end un Marché du Terroir avec des brasseurs et des producteurs locaux, accompagnés d'une succession de groupes sur la scène installée sous un chapiteau, Place de la Brasserie.
Usine métallurgique dite Forge de Semouse puis Société de Pruines, puis scierie[57].
La maire Véronique Marcot est intervenante d'une émission sur l'industrie modernisée du bois sur LCP/Public Sénat, diffusée le dimanche [58].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Xertigny centre
Église Sainte-Walburge
L'église Sainte-Walburge.Intérieur de l'église.
D'après la légende, sainte-Walburge aurait laissé une pelote de laine se dérouler et aurait construit l'édifice à l'endroit où celle-ci aurait terminé sa route. L'église incendiée durant l'offensive allemande en 1940 est reconstruite après la guerre en 1951.
Elle possède huit vitraux de Gabriel Loire, représentant les saints vosgiens[59]. Son clocher comporte sept cloches de différentes tailles qui ont chacune un parrain et une marraine ; la plus grande d'entre elles est Sainte Walburge et la plus petite sainte Thérèse. L'orgue est de 1948[60],[61],[62].
Hôtel de ville
Il occupe le château des Brasseurs (XIXe siècle) depuis 1981[63]. Il a été construit par le brasseur Victor Champion sur les fondations de l’ancien presbytère de l’Orémus. C'est un château de style Renaissance ; les plans sont de l’architecte des beaux-arts, François Clasquin.
À l'arrière, un vaste parc abrite un arboretum[64], des étangs et une aire de pique-nique (la faisanderie).
Monument aux morts
Le monument aux morts de Xertigny[65],[66], construit en granit, se situe en contrebas de l'église. Il est décoré de Croix de guerre et entouré d'obus. On peut y lire "À NOS ENFANTS MORTS POUR LA PATRIE 1914 1919" et "À NOS HÉROS 1939 1945"
Fontaines
La grande fontaine[67], située dans l'angle aigu formé par la rue du canton de Firminy et la rue Colonel-Sérot, a une forme en V. La pointe est occupée par la colonne de jet et les deux bassins sont équipés de trois pierres à laver.
La fontaine Michel-Bidaud porte le nom de l'ancien maire de Xertigny de 1973 à 1989[68]. Elle est située place Michel-Bidaud devant l'entrée automobile du château.
Jean-Georges Didier (dit « Jaugeot »). Prêtre. (né le , Xertigny, mort le , Xertigny). Il fut ordonné le . Son entrée au séminaire de Versailles, est tardive. Son ordination a lieu en région parisienne, car l’évêché de Versailles est très pauvre en vocations sacerdotales. Aussi, l’évêque de ce diocèse fait appel aux séminaristes vosgiens pour étoffer ses ministères. Prêtre éclectique, sa vie est fertile en événements et surtout semée d’embûches. Curé de Saint-Lambert (Versailles) durant vingt-huit ans, il revient dans les Vosges à la paroisse de Domèvre-sur-Avière en 1880, puis à Ainvelle en 1892. Xertigny lui doit la première idée de son hospice Saint-André, la construction d’une école et l’église Sainte-Marie des Aulnouzes situé au Molieu près de La Chapelle-aux-Bois, commencée et continuée parmi les plus grandes tribulations ; l’abbé Didier n’ayant pas de permis de construire et surtout l’autorisation de l’évêché vosgien[31].
Henri Martin, directeur d'école, défenseur de la place d'Epinal en 1940 et écrivain[74].
André Sérot (né le , Xertigny - mort le , Jérusalem, Israël) : militaire. Le colonel Sérot avait une devise « Servir sans se servir ». Ceci caractérisait bien ce militaire mort pour la paix en Terre Sainte au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Son épouse née Berthe Grünfelder (1898-1971) est arrêtée le par la Gestapo de Clermont-Ferrand puis déportée en Allemagne à Ravensbrück. Elle sera libérée par le comte Folke Bernadotte. Engagé volontaire en 1914, André Sérot passe à l’aviation et durant la « drôle de guerre » accomplit des missions suicides sur le sol allemand. Il connaît six langues, aura dix-huit noms d’emprunt, le crâne rasé et la nuque prussienne. Médiateur des Nations unies à la Libération, il est assassiné à Jérusalem aux côtés du Suédois Folke Bernadotte par le groupe STERN (ou Lehi groupe choc de la Hagana dont le chef était Menahem Begin). Le corps de ce grand chrétien repose au cimetière de Xertigny après avoir eu des obsèques nationales tant aux Invalides à Paris que dans sa ville natale.
Philippe Lacroix, chef cuisinier du Lido à Paris[75] et parrain des dîners insolites du patrimoine[76].
Ayant participé à la vie de la commune
Victor Champion, brasseur. (né le à Pressigny, Haute-Marne - mort le , Xertigny) Fondateur en 1890 à Xertigny de la brasserieLa Lorraine à l’effigie de Jeanne d’Arc. Cet établissement se lance dans la commercialisation de bières, d’eaux, de liqueurs et spiritueux, portant le nom de Pilsen Ale, Cristal Château, Hicherelle ou Mousquetaire. Destiné à reprendre une petite brasserie à Monthureux-sur-Saône appartenant à son oncle Nestor Virey, ce fils d’agriculteur étudie l’art brassicole en Allemagne en l’école de la brasserie Weihenstephan à Freisning près de Munich en Bavière. Cette école étant considérée à cette époque comme la plus importante au monde. Victor Champion s’y familiarise avec le procédé bavarois de fermentation basse, puis après divers stages, il vient pratiquer son métier à Xertigny à la brasserie de La Cense avant de racheter l’usine Thirion qui périclite au centre-ville. À la fin du XIXe siècle, La Lorraine jouit d’une renommée internationale, primée aux différentes Expositions universelles. À son décès, sa succession revient à son gendre Henri Trivier, originaire de Dijon, qui épouse sa fille Berthe. Il est inhumé dans la chapelle familiale, au cimetière de Xertigny. Il était grand-père de quatre petits-enfants, Marguerite, Pierre, Alice et Jean[29].
Léon Didier, chimiste-photographe. (né le à Dompaire - mort le à Xertigny) Pionnier de la photographie couleur, Léon Didier dit « Jolo », résidant à Xertigny sur la place des Tilleuls, a participé avec succès aux recherches de la photographie couleur. Dès 1895, ayant quitté l’instruction publique, il est en contact avec de nombreux laboratoires. Quatre ans après, il prend un premier brevet en vue de l’obtention de photographies en couleurs sur papier, d’après les trois clichés de la sélection trichrome. Ces méthodes furent surtout étudiées à la maison Geisler à Raon-l'Étape. En 1904, il fait breveter son procédé mais la France ne possédant pas alors d’industrie de la chimie des colorants, il doit aller poursuivre ses recherches en Allemagne dans les ateliers de la Farben où le réputé docteur Koenig reconnaît officiellement ses prépondérantes découvertes. Léon Didier sera ensuite à la tête d’un laboratoire à Paris et en Suisse à Zurich. Il est inhumé au cimetière de Xertigny. Toutefois, à l’instar de son homonyme, l’abbé Jean-Georges Didier, la municipalité du chef-lieu de la Vôge décide d’abandonner sa tombe au cours de l’année 2006, et d’oublier définitivement son illustre compatriote.
Henri Trivier, brasseur[77]. (né le , Dijon, Côte-d'Or - mort le , Xertigny). Fils unique d’Émile Trivier et de Justine Carré, propriétaires d’une importante brasserie dijonnaise sous l’appellation Trivier-Carré, il poursuit de brillantes études qui le mènent au baccalauréat, puis dans le secteur de la chimie. Toutefois il veut entrer à l’École polytechnique mais il obéit à son père qui l’oriente vers la très réputée école de brasserie austro-hongroise de Mödlung. La suite de ses études brassicoles est dirigée en Bavière à la brasserie de Weihenstephan en Allemagne puis à celle de Carlsberg. Au décès de son père, il hérite des biens familiaux et se fixe momentanément en Bourgogne. Jeune diplômé, Henri Trivier trouve fortuitement le bonheur dans les Vosges à Xertigny où il s’installe et collabore avec Victor Champion. Deux ans plus tard, il prend pour épouse Berthe, la seconde fille du brasseur local (1887). Au décès de son beau-père (1891), il assure seul la direction de l’établissement qu’il maintient pendant les trente années qui suivent, au rang des premières brasseries de la région Est de la France. En 1921, la firme Trivier-Champion devient une société anonyme. La bière de Xertigny La Lorraine, jouit dans tout l’Hexagone et dans les colonies française, d’une réputation ancienne. Celle-ci est maintes fois consacrée par les plus hautes récompenses aux diverses expositions. Quand Henri Trivier disparaît, ses trois enfants Pierre, Alice et Jean, perpétuent la dynastie. Il repose dans la chapelle familiale au cimetière communal[29].
D'or à la bande de gueules chargée de trois anilles d'argent.
Commentaires : ce blason a été retenu en novembre 1957, avec l'aval de MM. Blaudez et Mathieu, héraldistes spinaliens. Il reprend le blason lorrain dont les alérions sont remplacés par des anilles qui représentent l'initiale X du nom de la commune[78],[79].
Pour approfondir
Bibliographie
Fonds antérieurs à 1790. Fond 5 E - Archives notariales (1571-1964) : 5 E 41 : Étude Maire, notaire à Xertigny (1815-1899); 5 E 56 : Étude Maire, notaire à Xertigny (1900-1929)
Henri Martin, Combats de à Bains-les-Bains et à Darney : additifs pour Xertigny et Dounoux, Le Souvenir français, Épinal, 1966, 64 p.
Bertrand Munier, Xertigny, des hommes et des événements, Éditions Jean-Pierre Kruch.
Bertrand Munier, Xertigny et son canton, A. Sutton, Joué-lès-Tours, 1999, 127 p. (ISBN2-8425-3400-X)
(fr) Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, , 677 p. (ISBN2-87692-093-X), p. 641 à 644
Présentation des orgues de l’église Sainte-Walburge de Xertigny