Président Institut Pasteur | |
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depuis le 28 octobre 2022 | |
Membre du Conseil supérieur de la magistrature en tant que personnalité extérieure | |
23 janvier 2019 - 22 janvier 2023 | |
Ambassadeur de France en Espagne | |
2015-2019 | |
Jérôme Bonnafont (d)Jean-Michel Casa | |
Ambassadeur de France au Brésil | |
2009-2012 | |
Antoine PouillieuteBruno Delaye | |
Président Établissement public du Grand Palais des Champs-Élysées | |
2007-2009 | |
Jean-Paul Cluzel | |
Ambassadeur de France en Bulgarie | |
2004-2007 | |
Jean-Loup Kuhn-Delforge (d)Étienne de Poncins | |
Directeur Institut français d'études andines | |
1985-1989 |
Naissance |
21 février 1974 Paris |
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Nationalité | française |
Activités | Diplomate, historien |
Père | Jean Saint-Geours |
Fratrie |
Jean-Philippe Saint-Geours Frédéric Saint-Geours |
Enfant | Tom Duval 23 ans |
Yves Saint-Geours, né le 5 février 1953 à Paris, est un diplomate et historien français.
Né le 5 février 1953, fils de Jean Saint-Geours et frère de Frédéric et Jean-Philippe Saint-Geours, Yves Saint-Geours est titulaire d'un diplôme d'études approfondies et agrégé d'histoire.
Il enseigne dix ans durant dans le secondaire. De 1985 à 1989, il dirige l'Institut français d'études andines. Il entame ensuite une carrière de diplomate : conseiller de deux ministres des Affaires étrangères, Hervé de Charette et Dominique de Villepin, il est successivement ambassadeur en Bulgarie (2004-2007), au Brésil (2009-2012) et en Espagne (2015-2019). De 2007 à 2009, il est le premier président de l'Établissement public du Grand Palais des Champs-Élysées.
Yves Saint-Geours est membre du Conseil supérieur de la magistrature en tant que personnalité extérieure depuis janvier 2019. Il a également été membre du conseil d'administration du Centre international d'études pédagogiques de novembre 2017 à octobre 2020.
Yves Saint-Geours est président du conseil d'administration de l’Institut Pasteur depuis octobre 2022.
En 2016, il est mis en cause par Vincent Jauvert dans le livre La face cachée du Quai d'Orsay, pour avoir couvert son ami Bruno Delaye, qui a détourné 91 000 € quand il était ambassadeur de France à Madrid.