Valbonnais

Valbonnais
Valbonnais
Commune de Valbonnais.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Communauté de communes de la Matheysine
Maire
Mandat
Gilbert Maugiron
2020-2026
Code postal 38740
Code commune 38518
Démographie
Gentilé Valbonnetins
Population
municipale
514 hab. (2021 en augmentation de 3,01 % par rapport à 2015)
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 54′ 03″ nord, 5° 54′ 18″ est
Altitude Min. 672 m
Max. 2 544 m
Superficie 23,95 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Matheysine-Trièves
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens
Site web https://mairiedevalbonnais.fr

Valbonnais (en occitan alpin : Vaubonés) est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Valbonnais est le centre d'une région naturelle nommée le Valbonnais, dont l'étendue est celle du bassin versant de la Bonne, un affluent du Drac.

Géographie

Situation

« Le Valbonnais est essentiellement la vallée moyenne de la Bonne, affluent du Drac. C’est une large cuvette qui s’ouvre à la sortie de la gorge du Pont du Prêtre fermée au Nord par la masse importante du Quoirau, à l’est par les contreforts étagés de l’Arcanier, et au midi par le Colombier que prolonge la chaîne de l’Averset. C’est un fond de lac alpin, sur les bords duquel se trouve l’agglomération de Valbonnais (750 mètres d’altitude) et les hameaux de Verneys, des Angelas, de la Roche, plus à l’est, Entraigues. »

— Marcelle Péry, A l'ombre de la montagne, Éditions de l'Ubac, 2006

La commune de Valbonnais est située à la lisière nord-ouest du massif des Écrins, dans la zone périphérique du parc, à une dizaine de kilomètres à l'est de la Mure. Elle occupe une plaine alluviale formée par la Bonne, affluent du Drac, qui la traverse d'est en ouest. Elle est dominée au nord par le Coiro, pointe sud du massif du Taillefer, qui culmine à 2 606 mètres, et séparée au sud du Beaumont par un alignement collinaire qui prolonge vers l'ouest le mont Colombier (alt. 1 948 m), et qui n'est franchissable qu'au col de Parquetout (alt. 1 382 m).

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Valbonnais
Oris-en-Rattier Chantepérier
Siévoz Valbonnais Entraigues
Saint-Laurent-en-Beaumont Saint-Michel-en-Beaumont

Géologie

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Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 109 mm, avec 8,6 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lavaldens », sur la commune de Lavaldens à 9 km à vol d'oiseau, est de 8,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 241,5 mm,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Hydrographie

Le territoire de la commune est traversé par la Malsanne, un affluent (rive droite) de la Bonne et donc un sous affluent du Drac et de l'Isère.

Voies de communication

Valbonnais est traversé d'est en ouest par la route départementale (ex-nationale) 526, qui, côté aval, rejoint au lieudit Pont-Haut, au sud de la Mure, la route nationale 85 (la « route Napoléon »), et, côté amont, remonte au nord-est vers le col d'Ornon pour rejoindre l'Oisans, en laissant à Entraigues un embranchement vers le Valjouffrey. Au sud, la petite D 212f monte depuis le pont des Fayettes vers le col de Parquetout, d'où elle redescend vers Saint-Michel-en-Beaumont.

Urbanisme

Typologie

Valbonnais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee,,,. La commune est en outre hors attraction des villes,.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (76,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,2 %), zones agricoles hétérogènes (22,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (9,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,4 %), zones urbanisées (1,3 %). L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui).

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Le territoire de la commune correspond au bassin versant du torrent alpin de la Bonne, ce qui explique son nom. La rivière, ancien français bone/bodne/bonne, du gaulois bodina, "borne, limite", faisait la frontière entre les Ucènes de la Romanche et les Tricores du Trièves et du Valgaudemar.

Histoire

Article connexe : Histoire de l'Isère.

Les sources disponibles pour établir l'histoire de Valbonnais sont relativement réduites jusqu'au Moyen Âge classique. En revanche, à partir de cette période, elles sont beaucoup plus nombreuses et ont fait l'objet d'études sur certains points.

La région est anciennement connue comme Vallis bonnesii, vallée du Bonnesium (nom gallo-romain).

Descriptions historiques

Descriptions historiques

« Le Valbonnais, c'est le territoire de l'intime, le territoire de la discrétion. Les terres toujours insuffisantes sont toutes travaillées et la forêt qui les relaie est présente en grands massifs continus et têtus. Dans toute sa modestie de société rurale, le Valbonnais tient presque au secret ses trésors, lacs, alpages, grands sommets. Comment ne pas citer l'Olan qui ferme la vallée de Font Turbat de sa fière paroi? Le Désert en Valjouffrey, Valsenestre, le Périer, Chantelouve, Valbonnais, les Engelas, Lavaldens, la Morte, lieux de vie presque timides où chacun fait ce que le territoire impose : travaillant et la mine et la terre, s'en allant l 'hiver pour colporter savoir-faire et tissus. De ces temps impossibles le Valbonnais ne fait guère état, cherchant aujourd'hui un nouvel équilibre entre tourisme de découverte et économie agricole, forestière. Il a la sagesse de l'écart. Le visiteur en quête d'équilibre embrasse un paysage qui est une véritable leçon. Les travaux et les jours martèlent comme le pas ce grand pays de silence immobile et de vies au secret. »

— Claude Dautrey, Randonnée pédestre dans le Parc National des Ecrins, Editions Olizane, 2006

« Le Valbonnais est un vallon étroit, mais fertile, arrosé par une petite rivière nommée Bonne. Voilà l'étymologie de sa dénomination ; aussi dans quelques anciens actes est-il nommé vallis Bonna ou Bonnae, vallis Bonnensis, vallée Bonne ou de la Bonne. Les limites du Valbonnais, qui fait partie du canton d'Entraygues, sont encore fixées en largeur par les crêtes des deux chaînes qui forment la vallée principale. Les deux extrémités, dans le sens de la longueur, sont la montagne de Turbate , où la Bonne prend sa source, et le territoire de la commune de Valbonnais, où résidait jadis le seigneur de tous ces pays… Mais ce vallon a deux embranchements, dont l'un conduit à la commune de Chantelouve, qui fait partie du Valbonnais. Cet embranchement forme aussi une gorge étroite, qui a une issue dans l'Oisans, et qui, depuis Chantelouve, est arrosé par une petite rivière appelée la Marsane ou la Malsaine, parce qu'en effet on prétend que ses eaux sont moins propres à l'arrosage que celle de la Bonne. On doit encore indiquer ici le vallon de Valsenestre, vallis Sinistra, vallée Gauche, qui est aussi une dépendance du Valbonnais, et qui, avec plusieurs autres villages, forme la commune de Valjouffray, même contrée et même canton.  »

— Jacques Champollion-Figeac, Extrait de l'Annuaire du Département de l'Isère, années 1811 et 1812, Rapport rédigé en 1810, sur la demande de Joseph Fourier, préfet de l'Isère, pour être adressé au ministre de l'Intérieur

 

Valbonnais a été au Moyen Âge et jusqu'en 1789 le centre d'une entité féodale (dénommée mandement ou seigneurie) constituée de cinq paroisses : Valbonnais, Entraigues, Valjouffrey, Le Périer, Chantelouve. Cette entité était sous l'autorité d'un seigneur qui percevait des droits et rendait justice sur ses terres. La seigneurie était organisée autour d'un château (certainement le deuxième construit sur le plan chronologique) avec une maison forte à proximité et une tour de contrôle de vingt-huit mètres de haut. Un prieuré clunisien a été fondé à proximité vers 950.

La seigneurie de Valbonnais

La seigneurie de Valbonnais a joué un rôle important pendant le Moyen Âge classique de par l'importance de la famille Alleman, qui a contrôlé le Valbonnais du XIe au XIIIe siècle. La famille Alleman contrôlait plusieurs seigneuries et l'une des quatre plus importantes du Dauphiné. Toutes les branches de cette famille estimaient se rattacher à la seigneurie de Valbonnais, qui était considérée comme le berceau de la famille, même si l'installation des Alleman dans le Valbonnais reste à ce jour inconnue. La famille Alleman perd le contrôle du Valbonnais dans la seconde moitié du XIVe siècle.

La seigneurie est l'objet d'une attention particulière du pouvoir et représente un bien prestigieux ce qui explique qu'elle soit attribuée en 1421 à Jean de Dunois, connu pour avoir été élevé avec le futur Charles VII et un des compagnons de combats de Jeanne d'Arc.

Valbonnais au XIXe siècle, illustrée par Victor Cassien (1808 - 1893).

Le mandement du Valbonnais a constitué une baronnie à partir de 1632. En 1677, il devient la propriété de la famille Moret de Bourchenu, lignée de parlementaires dauphinois, qui achète les terres de Valbonnais par échange auprès de Jacques II de Poligny. Il est érigé en marquisat en 1694 au bénéfice de Jean-Pierre Moret de Bourchenu, premier président de la Chambre des comptes du Dauphiné, qui prend alors le titre de marquis de Valbonnais. Le mandement restera aux mains des Moret de Bourchenu jusqu'à la Révolution française, date à laquelle les structures d'Ancien Régime ont été remplacées par les départements, cantons et communes.

L'ancienne usine de Pont-du-Prêtre.

De 1926 à 1950, Valbonnais a été desservi par un chemin de fer à voie métrique et à traction électrique, embranchement de la ligne de chemin de fer de La Mure à Corps construit pour desservir les cimenteries de Pont-du-Prêtre, dont on peut encore voir les ruines au bord de la route. Cette cimenterie a occupé une place majeure dans la vie du village du fait de son importance économique pendant une soixantaine d'années (elle ne survit pas à la crise des années 1930 alors que le ciment produit avait été exporté). La voie ferrée comportait une gare intermédiaire à Pont-du-Prêtre, devenue maison d'habitation privée, et une gare terminus à l'entrée du bourg de Valbonnais. Le projet de construction d'un chemin de fer à crémaillère ou d'un téléphérique prolongeant ce chemin de fer en direction de la crête de la Salette n'a pas eu de suite.

En août 1944, des Allemands de la 157e division d'infanterie du général Karl Pflaum qui avaient participé à la destruction du maquis du Vercors le mois précédent ont brièvement occupé la commune de Valbonnais du 9 au 12 août. Cinq résistants furent tués lors de combats qui eurent lieu au lieu-dit "Pont du Prêtre", un résistant fut sommairement exécuté et trois hommes qui se cachaient dans les bois furent également tués,.

Politique et administration

Administration municipale

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Liste des maires

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Période Identité Étiquette Qualité
1965 mars 2001 Marcel Berthier DVG puis PS
puis DVD
Conseiller général du Canton de Valbonnais (1979-2004)
mars 2001 2020 Denis Macé DVD Retraité
2020 En cours Gilbert Maugiron    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005.

En 2021, la commune comptait 514 habitants, en augmentation de 3,01 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 8201 2331 2511 2581 3861 4051 3271 3841 339
Évolution de la population  , suite (1)
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2881 3071 2341 2901 3261 4511 2431 2041 124
Évolution de la population  , suite (2)
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1101 0461 014822787793743641606
Évolution de la population  , suite (3)
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
597521431434486440485491503
Évolution de la population  , suite (4)
2015 2020 2021 - - - - - -
499512514------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999 puis Insee à partir de 2006.) Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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« Valbonnais veut dire en effet vallis bona, bonne vallee, et c'est bien dit ; car il semble que Dieu ait jeté ici à profusion toutes les bonnes choses de la création. Je ne parle pas seulement des richesses céréales et agricoles qui lui ont fait donner son nom ; on y trouve encore des truites toujours fraîches, des écrevisses exquises, du gibier en abondance, des fruits délicieux, ainsi que nous pûmes nous en convaincre par l'excellent déjeuner qui nous fut servi à Valbonnais. »

— Ernest de Toytot, Voyage de Grenoble à la Salette, Chez Baratier frères et fils, 1863, p.297

Traditionnellement vouée à l'agriculture, la commune de Valbonnais a hébergé pendant une soixantaine d'années une cimenterie, la Société des Ciments Portland de Valbonnais, Pelloux, Père, Fils et Cie, créée en 1878 à Pont-du-Prêtre, à l'extrémité ouest de la commune, pour exploiter les calcaires argileux pour la production de ciments hydrauliques. Mais cette exploitation survit pas à la crise des années 1930 alors que le ciment produit avait été exporté.

Tourisme

Culture locale et patrimoine

Langue

Historiquement, le Valbonnais (sauf les communes de la vallée de la Roizonne) appartient à la zone de parlers occitans de type vivaro-alpins. En Occitan, la commune se nomme Vaubonés.

Les habitants de Valbonnais sont appelés les Valbonnetins. Les habitants de certains hameaux ont des noms particuliers : Engelaurous (Engelas), Rouchaïrous (la Roche), Vernusaux (les Verneys), Pécharaux (Péchal).

Lieux et monuments

Cette inscription est un palindrome double : elle peut se lire indifféremment de gauche à droite, de droite à gauche en commençant par le bas, mais aussi verticalement de haut en bas, ou de bas en haut en commençant par la droite. On la trouve en divers lieux et elle a fait couler beaucoup d'encre. Celle-ci, à proximité d'un bâtiment judiciaire, servait peut-être d'élément porte-bonheur visant à protéger le lieu des incendies comme cela arrivait fréquemment. La pierre est classée parmi les monuments historiques au titre d'objet.

(Autres photos de l'église et du pont sur Commons) Lieux et monuments disparus

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Valbonnais possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Notes et références

Notes et cartes

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le 14 novembre 2020 en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le 15 juillet 2023).

Références

  1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ 18 juin 2010 (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le 8 janvier 2024)
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le 8 janvier 2024)
  3. « Orthodromie entre Valbonnais et Lavaldens », sur fr.distance.to (consulté le 8 janvier 2024).
  4. « Station Météo-France « Lavaldens », sur la commune de Lavaldens - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 8 janvier 2024)
  5. « Station Météo-France « Lavaldens », sur la commune de Lavaldens - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 8 janvier 2024)
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, novembre 2022 (consulté le 8 janvier 2024)
  7. Sandre, « Fiche cours d'eau (W2320500) »
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le 28 mars 2021).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le 28 mars 2021).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le 28 mars 2021).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, 21 octobre 2020 (consulté le 28 mars 2021).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, 21 octobre 2020 (consulté le 28 mars 2021).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le 28 avril 2021)
  14. http://www.ot-valbonnais.fr/sections.php?op=listarticlesa&secid=112&artid=340
  15. Un détachement du bataillon 179 du Reserve-Grenadier-Regiment 157 composé d'Allemands et de Polonais, (en ligne)
  16. Comité du souvenir Français, Du 9 au 15 août 1944, Une semaine de la vie dans la vallée de Valbonnais sous l'occupation allemande, Seyssinet-Pariset, Imprimeurs Réunis, 2004
  17. "Paul Emesse, Nacer Ben Ali, Séraphin Oddoux, Antoine Treuille, Georges Weil, Armand Casu, Leyzor Kon, Paul Pichand, Fernand Terreas-Blanc", notice Valbonnais (Isère), du 9 au 11 août 1944, par Jean-Luc Marquer, 9 août 2021
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. M. Berthelot, Hartwig Derenbourg, F.-Camille Dreyfus et al., La grande encyclopédie : inventaire raisonné des sciences, des lettres et des arts, t. 20, H. Lamirault (Paris), 1885-1902 (lire en ligne), p. 990.
  23. Où randonner à Valbonnais, sur le site de la commune
  24. Que faire à Valbonnais, sur le site de la commune
  25. Pierre Bec, La langue occitane, PUF, 1978, p.11
  26. Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, 2005, 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), pp. 708-710.
  27. Du château d’Hugonin Alleman au canal… Historique, La gazette du Valbonnais, n. 97, janvier 2016.
  28. Notice no PM38000363, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  29. Patrimoine Valbonnais () sur le site de l'office de tourisme de Valbonnais.
  30. Patrimoine des bassins et lavoirs sur le site de la mairie
  31. Dossier de la légion d'honneur du capitaine André Champollion sur le site du Ministère de la culture.
  32. Dossier de la légion d'honneur de Barthélémy Buis sur le site du Ministère de la culture.
  33. État civil sur le fichier des personnes décédées en France depuis 1970, Insee
  34. « Henri Collomb est né le 14 décembre 1913 à 2 heures du matin, en la Maison du Fege, dans la commune de Valjouffrey. Il était le fils de Célestin Marcellin Collomb, 36 ans, cultivateur, domicilié aux Moulins, commune de Valbonnais, et de Augustine Fege, 25 ans, ménagère. », Bulletin mensuel de l'Académie delphinale, Académie delphinale, Grenoble, 1988, p.146
  35. Henri Collomb (1913- 1979) : le petit écolier du Moulina dans La g@zette du Valbonnais, n°30, juin 2010
  36. Les archives de la Société des Ciments Pelloux de Valbonnais sont conservées aux Archives départementales de l'Isère, archives.isere.fr, 23J, 1877-1966.

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes