Aujourd'hui, Éric Darragon est un sujet qui a retenu l'attention de millions de personnes à travers le monde. Depuis son émergence jusqu'à aujourd'hui, Éric Darragon a fait l'objet de débats, de discussions et d'analyses dans des contextes variés. Son impact sur la société, la politique, la culture populaire et la vie quotidienne est indéniable, et sa pertinence ne cesse de croître au fil du temps. Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes de Éric Darragon, son évolution au fil des années et son influence sur le monde d'aujourd'hui. De ses origines aux tendances actuelles, Éric Darragon continue d'être un sujet d'intérêt pour les personnes de tous âges et de tous horizons.
Ancien normalien agrégé des lettres, pensionnaire de la Villa Médicis[1] (1971-1973), élève d'André Chastel[2],[3], il a précédemment enseigné à l'Université Paris-X Nanterre et à l'Université François-Rabelais à Tours. Actuellement professeur émérite d'histoire de l'art à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, ancien directeur du Centre de recherche histoire culturelle et sociale de l'art (EA 4100) et du Centre inter-universitaire de recherche en art contemporain[4] (CIRHAC). Il est membre du comité de rédaction des revues Critique d’art[5] et Perspective[6].
Publications
Ouvrages
Maniérisme en crise : le Christ en gloire de Rosso Fiorentino à Città di Castello, 1528-1530 , Rome, 1983 (Académie de France à Rome, 6).
Quand et comment débute l'histoire de l'art contemporain/modern art ? Introduction et Quand l'histoire de l'art devient contemporaine ou le syndrome des dernières pages, dans Où va l'histoire de l'art contemporain ? , Paris, 1997, p. 59-64 et 71-77 (ISBN2-84056-046-1).
La provocation, une dimension de l'art contemporain, XIXe – XXe siècles , sous la dir. d'Éric Darragon, Paris, 2004 (ISBN285944470X).
↑Voir le Colloque Daniel Arasse, Paris, 8 juin 2006.
↑Cf. Éric Darragon, Lumière-frontière. Remarques sur la série Port-en-Bessin de Seurat, dans L'Art, effacement et surgissement des figures : Hommage à Marc Le Bot, Paris, 1991, p. 45-55.