Aujourd'hui, nous allons plonger dans le monde fascinant de 1382. Depuis des temps immémoriaux, 1382 a capté l'attention et l'intérêt de millions de personnes à travers le monde. Que ce soit en raison de son impact sur la société, de son influence sur la culture populaire ou de sa pertinence dans l'histoire, 1382 a laissé une marque indélébile sur l'humanité. Dans cet article, nous approfondirons les nombreuses facettes de 1382, explorant sa signification, son évolution au fil du temps et son importance dans le contexte actuel. Rejoignez-nous dans ce voyage pour découvrir tout ce que 1382 a à offrir et comment il a façonné notre monde d'une manière que nous n'aurions peut-être jamais imaginée auparavant.
24 octobre : Ibn Khaldoun quitte Tunis pour l'Égypte[1]. Après l’assassinat de son frère, le philosophe Ibn Khaldoun effectue un pèlerinage à La Mecque et se voit offrir une chaire à la fameuse université musulmane al-Azhar par le sultan du Caire, qui le nomme également grand qadi (juge) malikite du Caire.
15 janvier : publication d'une ordonnance royale de Charles VI de France sur la perception des aides, rétablissant des contributions indirectes (dites aides) sur les marchandises, en particulier sur le sel et le vin, qui va déclencher des révoltes populaires dans le royaume, sans même attendre son application au 1er mars[6].
21 janvier : le popolo grasso reprend le pouvoir à Florence et réforme la constitution établie par les Ciompi[7]. Les Albizzi et les Alberti rétablissent le règne de la bourgeoisie florentine. L’oligarchie se maintient jusqu’en 1434.
22 février : Louis d'Anjou se rend à Avignon pour recevoir le serment des seigneurs et des villes de Provence, mais la communauté d'Aix refuse de le reconnaitre[8]. Louis met le siège devant la ville mais l'abandonne en juin pour partir en Italie avec son armée.
3 mai : victoire des Gantois révoltés à Beverhout, près de Bruges, sur le comte de Flandre[12]. Ils pillent les entrepôts et les celliers du port de Damme.
17 mai : condamnation de John Wyclif par le synode des Églises d’Angleterre à Londres[14]. Il obtient de protecteurs influents de ne pas être excommunié.
Marie (1370-1395), fille aînée de Louis d'Anjou, bien que mineure, est élue « roi de Hongrie » par la diète (fin en 1387). Elle se heurte à une vive opposition des barons. Sa mère Élisabeth Kotromanić gouverne à sa place grâce à l’appui du clan Garai. Le palatin Miklós Garai tente de marier Marie avec Louis d'Orléans, frère du roi Charles VI de France, contre les dispositions du roi défunt qui a promis la main de sa fille Marie et la couronne de Hongrie à Sigismond de Luxembourg, fils de l’empereur Charles de Bohême. Le projet échoue quand Sigismond apparaît à la tête d’une armée financée par sa famille.
Interrègne en Pologne (fin en 1384). Le pays est désolé par la guerre civile. L’union avec la Hongrie est rompue. L’aristocratie laïque et religieuse se partage les hautes charges de l’État.