Dans cet article, nous allons parler de 1458 en littérature, un sujet qui a retenu l'attention de personnes de tous âges et de tous intérêts. 1458 en littérature est un sujet qui a généré beaucoup de débats et de controverses ces derniers temps, et il est important de l'analyser sous différents angles. De son impact sur la société à sa pertinence dans la culture populaire, 1458 en littérature s'est avéré être un sujet d'intérêt général qui mérite d'être exploré en profondeur. Tout au long de cet article, nous analyserons différents aspects de 1458 en littérature, de son origine à ses conséquences possibles dans le futur.
De Europa, traité géopolitique d'Enea Silvio Piccolomini, consacré aux provinces, nations et peuples de l'Europe, en insistant sur l'épanouissement de la culture[3].
Charles Ier d'Orléans accueille à sa cour de Blois plusieurs poètes, auxquels il propose d'écrire des ballades qui s'ouvrent toutes par le vers : « Je meurs de soif auprès de la fontaine », connues sous le nom de Ballade des contradictions ; les deux plus célèbres sont celles de Charles d'Orléans et de François Villon[6].
11 août : Robert Ciboule, clerc séculier français, théologien, auteur du mémoire Consideratio seu opinio en faveur de la réhabilitation de Jeanne d'Arc.
Sozomeno da Pistoia, humaniste italien, né en 1387[11],[12].
Maffeo Vegio, écrivain humaniste italien de langue latine, auteur de poèmes épiques, d’un traité d’éducation et d’une continuation de l'Énéide, né vers 1407.
↑Louis Delaruelle, « Une vie d'humaniste au XVe siècle : Grégoire Tifernas », dans Mélanges d'archéologie et d'histoire, École française de Rome, 1899.
↑Frédéric Duval, La traduction du Romuleon par Sébastien Mamerot : étude sur la diffusion de l'histoire romaine en langue vernaculaire à la fin du Moyen Age, Librairie Droz, (ISBN9782600004800, présentation en ligne)
↑Gustave Cohen et Élisabeth Lalou, « Saint André (Mystère de) », dans Dictionnaire des lettres françaises: le Moyen Âge, Paris, Fayard, , p. 1330-1331.
↑Marcellin Richard, La Passion de saint André. Édition critique suivie d'une étude linguistique comparée par Jean Sibille, Paris, Champion, coll. « Textes de la Renaissance, 110 », , 953 p.
↑Josette Britte-Ashford, Le théâtre populaire en Bourgogne au quinzième siècle, Brighman Young University, (présentation en ligne)
↑(it) Lucia Cesarini Martinelli, « Sozomeno maestro e filologo », Interpres, no 11, , p. 7-92.