Dans le monde d'aujourd'hui, Alain Danilet a acquis une pertinence incontestable. Que ce soit comme protagoniste de changements majeurs, comme objet de débat ou comme référence historique, Alain Danilet suscite un large intérêt. Son impact s'étend au-delà d'un domaine spécifique, influençant différents aspects de la vie quotidienne. Dans cet article, nous explorerons plus en détail le rôle de Alain Danilet et son importance dans le contexte actuel. De son origine à son évolution, en passant par ses implications, nous plongerons dans une analyse complète qui nous permettra de mieux comprendre la portée de Alain Danilet et sa pertinence dans la société actuelle.
Alain Danilet | |
Fonctions | |
---|---|
Député français | |
– (4 ans et 19 jours) |
|
Élection | 28 mars 1993 |
Circonscription | 5e du Gard |
Législature | Xe (Cinquième République) |
Groupe politique | RPR |
Prédécesseur | Alain Journet |
Successeur | Damien Alary |
Maire de Sommières | |
– | |
Prédécesseur | Madeleine Solignac |
Successeur | Guy Marotte |
Biographie | |
Nom de naissance | Alain Maurice Danilet |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Noyon (Oise) |
Date de décès | (à 64 ans) |
Lieu de décès | Aujargues (Gard) |
Nature du décès | Arrêt cardiaque |
Sépulture | Villevieille |
Nationalité | Française |
Parti politique | RPR (jusqu'en 2002) UMP (2002-2012) |
Profession | Motard |
modifier ![]() |
Alain Danilet, né le à Noyon (Oise) et mort le à Aujargues (Gard)[1], est un homme politique français.
Il est originaire de l'Oise[2].
Exerçant la profession de fonctionnaire et motard de la Police nationale, époux d'Élisabeth, il a une fille, Béatrice[3] et un petit fils Adam Scheidt.
Face notamment à Fernand Balez, Jean-Michel Teulade et Alain Journet, il est élu député de la cinquième circonscription du Gard sous les couleurs du RPR pour la Xe législature (1993-1997). Son suppléant est Christian Burglé, maire CDS d'Euzet (1989-2001). Il se représente aux élections législatives de 1997 consécutive à la dissolution de l'Assemblée, mais échoue au second tour avec 40,59 % des suffrages face à Damien Alary. Il entretient une correspondance nourrie avec Jacques Chirac après sa défaite[4]. Proche ami du maire de Beaucaire Jean-Marie André, il ne se montre pas, comme lui, opposé à la conclusion d'accords avec le FN[4].
En 2004, après deux tentatives en 1992 et 1995, il tente une ultime fois de ravir le canton de Sommières à Christian Valette (PS), mais celui-ci est largement réélu dans le cadre d'une triangulaire.
Il est élu maire de Sommières en . L'année suivante, à l'automne, il doit gérer les inondations et malgré l'importance des dégâts il saura créer une dynamique autour de sa ville pour lui redonner sa splendeur [2],[5]. Pourtant en 2005, devant faire face à la démission de la quasi-totalité du conseil municipal, il perd ses mandats de maire et de conseiller municipal. Guy Marotte lui succède. Après cela, il reste discret à Sommières[2].
Il rejoint les rangs de l'UMP à sa création en 2002[2].
Le , il meurt d'un arrêt cardiaque dans sa résidence de Villevieille[2]. Il est inhumé dans le cimetière de la commune[3].
Il est fait chevalier de la Légion d'honneur par décret du , pour « 37 ans d'activités professionnelles, de services civils, militaires et de fonctions électives »[6].