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Anne Bisang joue d’abord, en 1986, sous la direction de Bernard Meister, le rôle de Lisiska dans Le Diable et la Mort (La Danse macabre) de Frank Wedekind au Casino-Théâtre de Genève[2].
Elle est l'une des quatre cocréatrices en 1986 de la Compagnie du revoir, aux côtés de Franziska Kahl, Valérie Poirier et Sophie Bonhôte. Le collectif pratique « un théâtre visuel et militant, sensible à la représentation de la femme »[2]. Après avoir réalisé WC dames, dénonciation du politiquement correct imposé aux femmes[9], à la Maison de quartier de La Jonction à Genève en 1987[10], puis Rumeur au La Bâtie-Festival de Genève, il se dissout en 1988, avant de se reformer en 1993. Anne Bisang met alors en scène Les Femmes et les enfants d’abord, issu d'une écriture collective[2].
Elle est la première femme à diriger la Comédie de Genève[11], de [12] à [6]. Préférée notamment à Jean-Luc Bideau et Dominique Bluzet du fait de son projet de Centre dramatique populaire, elle succède à Claude Stratz à la tête de l'institution[12]. Elle y crée 14 spectacles[3]. Elle n'est pas reconduite pour un cinquième mandat en 2011. Durant sa période à la tête du théâtre, le nombre d'abonnements chute, mais la fréquentation reste stable grâce à un nouveau public, notamment plus jeune[13].
↑Henry Plouïdy, « De l'étrange à la microscopie du vivant », L'Hebdo, , p. 106 (lire en ligne)
↑Florence Hervé et Brigitte Mantilleri, Histoires et visages de femmes, Yens-sur-Morges, Cabédita, coll. « Archives vivantes », , 162 p. (ISBN2-88295-411-5), « Anne Bisang - Nous faisons un métier formidable », p. 19 à 23
↑ a et bLisbeth Koutchoumoff, « Le parti de l'audace a gagné : Anne Bisang reprendra les rênes de la Comédie », Le Temps, (ISSN1423-3967, lire en ligne, consulté le )
↑ a et bCéline Rochat, « La candidature d'Anne Bisang excite les passions », 24 heures, , p. 27 (lire en ligne)
↑Céline Rochat et Jean Ellgass, « Le rêve de Vincent Baudriller, nouveau directeur de Vidy », 24 heures, , p. 1 (lire en ligne)
↑Alexandre Demidoff, « Anne Bisang, directrice du TPR : « Le théâtre n’est pas là pour conforter le public dans ce qu’il connaît » », Le Temps, (ISSN1423-3967, lire en ligne, consulté le )
↑Lisbeth Koutchoumoff, « La rage adolescente de « Sainte Jeanne » soulève le public de la Comédie de Genève », Le Temps, (ISSN1423-3967, lire en ligne, consulté le )
↑Pierre-Louis Chantre, « Roméo et Juliette prennent l'eau », L'Hebdo, , p. 78 (lire en ligne)
↑Pierre-Louis Chantre, « Roméo et Juliette. À l'attaque du mythe », L'Hebdo, , p. 65 à 69 (lire en ligne)