Dans cet article, nous explorerons l'importance de Aurora Venturini dans la société contemporaine. Depuis ses origines jusqu'à nos jours, Aurora Venturini a exercé une grande influence dans divers domaines de la vie quotidienne. Tout au long de l’histoire, Aurora Venturini a été un objet de fascination et d’étude, et son impact a laissé sa marque sur la culture, la politique, l’économie et la psychologie. Grâce à une analyse détaillée, nous découvrirons comment Aurora Venturini a façonné nos perceptions et nos comportements, et examinerons son rôle clé dans la formation des identités individuelles et collectives. De même, nous approfondirons les différentes perspectives et approches qui ont été développées autour de Aurora Venturini, afin de mieux comprendre sa pertinence dans le monde d'aujourd'hui.
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Aurora Venturini, née le à La Plata et morte le à Buenos Aires[1], est une romancière, nouvelliste, poétesse, traductrice et essayiste argentine.
Originaire de La Plata, capitale de la province de Buenos Aires, elle obtint son diplôme de Philosophie et lettres et de Sciences de l’éducation à l’Université nationale de La Plata. Elle exerça ensuite comme assesseur à l’Institut de psychologie et de rééducation des mineurs, où elle fit la connaissance d’Eva Perón, avec qui elle travailla beaucoup et de qui elle devint l’amie intime[2]. En 1948, elle reçut des mains de Jorge Luis Borges le prix Iniciación, pour El solitario[3]. Elle collabora aux éditions Ediciones del Bosque de La Plata, aux côtés de María Dhialma Tiberti et d’autres grands auteurs platenses. Elle s’en alla étudier la psychologie à l’université de Paris, et restera, à la suite de la dénommée Révolution libératrice, en exil volontaire dans la capitale française pendant 25 ans. À Paris, elle vécut en compagnie de Violette Leduc et se lia d’amitié avec Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Albert Camus, Eugène Ionesco et Juliette Gréco, et, en Sicile, fréquenta Salvatore Quasimodo. Elle fut l’épouse de l’historien Fermín Chávez[3]. Elle enseigna la philosophie à l’école normale Antonio Mentruyt à Banfield, dans la proche banlieue sud-est de Buenos Aires. Elle traduisit plusieurs écrivains et poètes français, tels que Lautréamont, François Villon et Arthur Rimbaud, en plus d’écrire sur eux des essais critiques, et se vit décerner pour son œuvre de traduction la Croix de fer par le gouvernement français ; le gouvernement italien également lui remit une récompense[4]. En 2007, elle reçut le prix Nueva Novela Página/12 pour son livre Las primas[2],[5]. En décembre 2010, l’édition espagnole de cette œuvre (sous le titre Caballo de Troya) fut désignée meilleur livre en espagnol paru en Espagne en 2009, et couronnée du prix Otras Voces, Otros Ámbitos[6].
Aurora Venturini est l’auteur de plus d’une trentaine d’ouvrages, incluant des romans et des essais critiques, consacrés notamment à des poètes français. Sa prose se signale par la singularité de son style, empreint à la fois de candeur et d’humour noir.