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Naissance | |
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Décès | |
Nom de naissance |
Takeichi Terasawa |
Nationalité | |
Formation |
École secondaire Hokkaidō Asahikawa Higashi (en) |
Activités |
Site web |
(ja + en) www.buichi.com |
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Buichi Terasawa (寺沢 武一, Terasawa Buichi ) est un dessinateur de manga né le à Asahikawa dans l'île de Hokkaidō et mort le à Tokyo.
Il est principalement connu en tant qu'auteur de Cobra, manga paru entre 1978 et 1984 et adapté en films et série TV d'animation à partir de 1982, qui raconte les aventures du corsaire de l'espace – représenté sous les traits de Belmondo.
Buichi Terasawa est né le sur l'île de Hokkaidō[1].
Il rate son examen d'entrée à la faculté de médecine et se lance dans le manga en 1974, après avoir remporté le premier prix d'un concours de dessin, et ce malgré une forte attirance pour le cinéma. Il dessine une trentaine de shōjo (manga pour jeunes filles) avant de devenir en 1976 l'assistant d'Osamu Tezuka. Terasawa travaille alors sur Black Jack, Phénix, Unico, Bouddha, etc.
Il devient mangaka indépendant en 1977 et crée le studio Black Sheep. Il publie dans le Weekly Shōnen Jump les premières histoires de Cobra[2]. Viennent ensuite les aventures de Takeru, Midnight Eye Goku, Kabuto ou le premier manga en couleur sur ordinateur Black Knight BAT.
L'auteur revient toujours à ses premières amours : Cobra. Ses aventures s'arrêtent 7 ans plus tard, mais connaissent dans le milieu des années 1990 un nouveau départ avec la publication de nouvelles histoires, numériques et en couleurs[3].
En 1998, Buichi Terasawa est atteint d'une tumeur au cerveau, maladie qu'il révèle publiquement en 2003. Il meurt le d'un infarctus du myocarde, à l'âge de 68 ans[4],[5],[1].
Il aurait vendu plus de 20 millions de manga dans le monde d'après "isan manga" « Ses œuvres sont traduites dans de nombreux pays et il a vendu au total plus de 20 millions de manga à travers le monde. »[6] ; 50 millions d'après "Le Monde/AFP" citant Mangazenkan « Le manga s’écoulera à quelque 50 millions d’exemplaires dans le monde selon le site spécialisé Mangazenkan, cité par l’AFP. » [1].